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| Histoire à thème - Editions I et II | |
| | Auteur | Message |
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Jikkyo
Spécialité : Scénario Messages : 127 Date d'inscription : 19/01/2013
| Sujet: Histoire à thème - Editions I et II Sam 19 Jan 2013 - 16:51 | |
| Yosh !
Bienvenue sur le topic de ce troisième évènement qui était : l'Histoire à Thème !
Le but de ce concours était de vous montrer les plus imaginatifs possible, en écrivant un scénario (de manga ou de roman, peu importe). Ce scénario devait tourner autour d’un mot clé qui était pour cette fois ci le mot : Lune.
Une histoire complète était attendue, de plus il n'y avait que sept textes d'acceptés , il fallait donc être le plus rapide pour envoyer le sien !
La gagnant a eu pour récompense la Médaille de l'Histoire à Thème!
A suivre les résultats | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Histoire à thème - Editions I et II Sam 19 Jan 2013 - 19:33 | |
| Les résultats ont été les suivants: 1er, enilorak qui a vu son texte être publié dans le premier drawzine du forum, Art et Japon! 2ème, Aoi dont le texte est à lire dans le premier drawzine également. - 3ème ex æquo, Goby:
Hey ! Moi c'est Shyrine ! Je vais vous conter une étrange histoire. Croyez le ou non, ce que je vais vous dire s'est réèllement passé, et cela m'aura marqué à tout jamais. J'avais 13 ans quand ça c'est passé... Mais il faut commencer par le commencement !
C'était un froid matin d'hiver, dans les montagnes des Pyrénés, moi et mes parents avions décidé de passer la journée dans le bois et d'y camper la nuit.
-Shishi ? Il est l'heure d'y aller !
-J'arrive !
Je descendis en trombe des escaliers, impatiante de partir. Nous prenons une motoneige pour nous rendre à l'orée de la fôret. Nous continuons à pied jusqu'à trouver un petit coin tranquille, près d'un ruisseau d'une clarté pure. J'explora les horizons pendant que Maman et Papa montent la tente, j'entrevois un petit lapin blanc qui dégerpit dès que je m'approche. Un éclair gris attire mon attention sur le côté, mais lorsque je vais voir, je n'y trouve rien, aucune traces un oiseau sans doute.. j'ausse les épaules et retourne près du campement
-A part quelque lapin il n'y a rien, on est dans le trou du c... -Shyrin... me coupa ma mère -... du monde! Terminai-je
-Bien ! S'exclama mon père, nous pouvons aller nous promener un peu et chercher du bois par la même occasion, Shyrin, surtout ne t'éloigne pas, tu te perdrais dans cette fôret.
-Papa j'ai plus 6 ans..
-Allons-y!
Pendant que nous nous balladions, le même élair gris que tout à l'heure passa, les paroles de Papa me revinrent en tête, mais la curiosité l'emporta... je m'éloigna vers les buissons, derrière, il y avait quelque centimètre de plat, pour finir dans une pente rude, mais aucune trace. Déçue, je m'appretais à repartir lorsque un lapin se décida à détaler du buisson. Il passa entre mes jambes. Surprise, j'ai perdi l'équilibré et d'un magnifique roulé boulé, j'atteins le bord de la pente. Voulant me relever en vitesse, la neige sous moi s'écroula... Un cri, je dévale la pente en me brulant contre la neige, choc... je m'évanouis, assomée par je ne sais quoi... c'est ici que l'histoire commença
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J'ai froid, si froid.. je devrais être morte, et pourtant une boule de chaleur est contre moi, me maintiens en vie. Je remue légèrement pour me lever alors la boule de chaleur s'éloigne et se plante non loin de la. Je m'assoie, m'adosse a l'arbre en me frottant la tête, et regarde mon héro.
Frissons.
Un énorme loup gris aux pattes blanches se tiens la, m'observant de ses yeux noir remplis de sagesses et d'intelligence. Effrayée, je me lève quand même et, lentement, je me dirige vers le loup. Il ne peux pas me vouloir du mal, il m'aurait déjà dévoré.. lorsque je fus assez proche pour pouvoir le toucher, un grognement remonta dans la gorge du loup. Je recula doucement et le loup ne grogna plus. Je chercha des yeux un endroit pour partir, impossible. Le seul endroit était ou se tenait le loup. Je me rendis soudain compte que mes membres étaient ankylosé par le froid, je me blotti contre un arbre, les jambes ramenées contre moi... j'allais mourir ici, de froid, de faim... Est-ce que mes parents ont remarqué ma disparition ? Est-ce qu'ils me retrouveront au milieu de nul part ? Je sursauta en sentant quelque chose me toucher. Le loup ! Il s'était allongé contre moi, me prêtant à nouveau sa chaleur. J'approcha doucement ma main, lui toucha l'oreille qui frémit légèrement, je le caressa. Amitié qui s'installe, Confiance...
C'était la pleine lune ce soir la. Magnifique étoile brillante dans les cieux. Le loup se leva, se planta devant moi et posa sa truffe sur mon front. Une vague d'image reflua en moi, des images et des paroles... Une histoire !! Le loup lui raconté son histoire !
Notre mère nous à tout donné, notre mère est belle, notre mère mérite le respect, nous chantons pour elle, chaque soir, nous nous rassemblons, et toi maintenant tu m'accompagnera, chaque soir, tu sera loup, tu sera fille de la lune, comme nous sommes ses fils
Depuis ce jour, j'appris. Je vivais près des loup, je parlais à la Lune, écoutait ses réponses... je comprenais sa vie, elle avait tant vu.. tant vécu.. elle était si vieille et pourtant si belle... Si sage... Elle me raconta également qu'elle était amoureuse.. folle amoureuse... ils avaient beau être différents, lui chaud, elle froide.. elle blanche, lui rougeoyant... mais ils s'aimaient. Seulement ils ne pouvaient se frôler que très peu de fois... le temps avançai.. il ne leur laissé aucun répit... Elle ma raconta aussi que certain hommes étaient allez lui piétiner la tête, et descendir jusqu'à la joue.. elle n'avait toujours pas compris pourquoi...
M'enfin voilà ! Après tout, si vous voulez savoir des trucs, allez lui demander vous même.. elle n'est jamais loin.. elle veille toujours sur nous.
- et ellia:
Au commencement furent les dragons Habrok et Hlin. Dans la gueule du premier brillait le feu sacré de la première étoile de ce monde. Dans l’œil de la seconde scintillait l'éclat discret de la dernière étoile d'un autre. Après avoir erré à travers le firmament durant plusieurs millénaires, ils se trouvèrent sous une voute d'étoile lumineuses. D'avoir quitté leur solitude ne leur donnait plus envie d'y retourner. Et pendant des siècles encore ils restèrent cotes à cotes. Mais bientôt l'étoile dans l’œil de Hlin voulu s'éteindre. La dragonne épuisée se mourrait.Alors, rassemblant leurs mues, Habrok créa le monde et y déposa Hlin agonisante. La femelle ne tarda pas à pousser son dernier soupir, et Habrok l'installa dans un repli de sa mue dorée. Puis, de son souffle glacé par sa tristesse, il l'enveloppa d'un dôme de cristal afin que jamais sa beauté ne soit perdue. Puis, il la pleura et de ses sanglots naquirent les océans. Quand Habrok eu versé toutes les larmes de son corps brulant, il prit un brusque envol. Ses ailes d'or s'agitant dans l'air tout neuf créèrent le vent. Habrok, rendu fou de douleur, pensait ne plus jamais pouvoir vivre. Il se mit en quête de la mort et ne la trouva pas. Aussi retourna-t-il vers sa Belle défunte. Durant les années passées, le sang de Hlin s'était rependu dans la terre, fertilisant le sol. Plantes et animaux avaient peuplé le monde quand le dragon d'or revient. De la mort était venue la vie. Habrok fut d'abord furieux et, menaçant, il se posa sur une terre noire immergée, vestige de la mue de sa femelle. Alors il fit connaissance de l'Homme. Leurs cheveux et leurs yeux dorés comme ses propres écailles, un feu semblable à celui qui chauffait sa gorge brulant dans leur cœur, tels étaient les premiers hommes. Fasciné par ce peuple qui lui ressemblait tant, il resta un temps auprès d'eux afin de les observer et de leur apporter son savoir. Ainsi, il leur offrit un peu du feu de sa gorge pour qu'ils le mettent dans une forge. Mais les hommes portaient en eux une tristesse semblable à celle de leur père. Habrok, comprenant leur douleur, se mit en quête des femmes. Il les trouva près de la mer. Leur peau avait la blancheur de l'écume, leurs cheveux la couleur noire des écailles de Hlin, et leurs yeux brillaient du même éclat gris que ceux de leur mère. Alors Habrok présenta les femmes aux hommes, et leur amour secoua la Terre. Loin sous la mer, dans le dôme, l’œil gris terni de Hlin se brisa. En sorti un serpent sombre, déjà robuste, qui glissa vers la parois du dôme et la brisa. L'eau pénétrant dans cet espace créa la première grande marée. Alors, Hlin, retournée à son état premier, se mit à errer dans le noir, privée de ses yeux, cherchant son amour disparu. Une huitre géante lui offrit l'hospitalité en échange de deux de ses écailles. Au matin, la Sage les avait enrobés d'une couche de nacre lisse et brillant. Elle les offrit à Hlin pour la remercier d'avoir donné la vie par sa mort. La dragonne, ayant enfin retrouvé son intégrité, osa enfin s'échouer sur la plage pour retrouver Habrok. Fou de joie, ce dernier proclama la bonne nouvelle à la Terre entière. Durant des mois, il la survola en chantant, présentant à tous son feu sacré. Ce fut le premier été. Quand au bout de trois mois Hlin eut recouvré sa taille, sa force et ses ailes, elle le rejoignit dans les cieux. Enlacés, se présentant tour à tour à la vue de la Terre, ils créèrent les jours et les nuits du premier automne. Fatigué, Habrok se posa alors derrière la crète de la mue de Hlin et tomba dans un profond sommeil. Ses roulements et ses cris, au rythme de ses rèves, ébranlaient la terre jusqu'à la mer et embrasaient le ciel. Hlin, restée seule, continuait à veiller sur les humains comme une mère. Mais l'éclat froid de son oiel ne réchauffait pas autant la Terre que le brasier incandescent de Habrok. De plus, l'océan avait perdu sa chaleur des premiers temps. Un grand froid s'installa. Vint l'hivers. Au printemps, elle célébra le reveil de son bien aimé. Mais déjà un cycle s'achevait. Lorsqu'elle perdit ses ailes et ses pattes disparurent, Habrok la porta dans le dôme de cristal. Il le vida et le répara, après y avoir déposé sa femelle. Puis il fit le tour de la Terre annonçant son retour prochain. Ce fut le deuxième été. ...
Dressac, le pays de la mer, est scindé en une multitude de clans, dirigés par une matriarche. Ses habitants vénèrent la lune, Hlin, et les hommes pèchent tandis que les femmes s'occupent du bétail et des plantations. Lir, 13 ans, est la cadette de la Mère du Clan de l’Huitre, et est appelée à seconder un jour sa sœur ainée en devenant sa prêtresse. Elle est de petite taille, et porte ses long cheveux noirs tressés de coquillages comme le veut la tradition de son clan. En prière au sommet d'une falaise, elle aperçoit un jour une expédition de Niherliens , leurs voisins des hauts plateaux, adorateurs du soleil. La chose n'est pas rare, nombre d'échanges commerciaux ont lieux entre les deux pays. En se portant à leur rencontre, elle se rend compte que les hommes ont d'avantage l'allure de guerriers que de paisibles marchands. Prudente, elle se cache d'eux et les suit jusqu’à une crique, où un bateau a jeté l'ancre, sans se faire voir du village. Le bateau appartient à un clan déchu, celui du Hareng*, les hommes s'étant un jour retournés contre leurs mères et leurs sœurs. Bannis, ils avaient été condamné à errer sans fin sur le mer, vivant uniquement de leur pèche. Le simple fait pour eux de mouiller dans cette baie est passible de mort pour chacun d'entre eux. Flairant un mauvais vent, Lir reste à observer les allées et venues des hommes des deux partis, de la terre au bateau, du bateau à la terre. La nuit venue, elle s'installe à proximité du bivouac des soldats et prie le vent de lui porter leurs paroles. La jeune fille apprend alors une chose atterrante. Victimes, depuis une dizaine d'années, d'hivers de plus en plus rudes, les Niherliens ont décidé d'aller régler le problème à sa source, en tuant ou capturant Hlin, dragonne mère, Lune, et déesse de l’hiver, afin que l'été règne à jamais. Et le bateau du clan du Hareng doit les amener sur les lieux de leur forfait: le dôme de cristal. Retournée en hate dans la Maison des Mères de son Clan, Lir réveille sa sœur ainée et la met au courant. La jeune femme prend immédiatement une décision. La fin de l'été arrive et Hlin ne sera vulnérable que sous sa forme de Serpent, à la fin de l'hiver. Elle va aller plaider sa cause auprès de l’Empereur Niherlien. Lir devra embarquer dans le bateau pour le cas ou son plaidoyer échouerai. Le lendemain, cachée au fond des cales, Lir part vers le large. Grâce au vent, elle apprend régulièrement des nouvelles de son ainée: partie avec la première caravane, elle essaie avec quelques autres Matriarches et certains de leurs meilleurs guerriers, de convaincre le souverain de renoncer à s'attaquer à Hlin... mais celui ci reste intraitable. Dans le courant de l'automne, Lir est découverte par une jeune femme du bord, engagé sous les traits d'un jeune garçon comme mousse. Elle prend aussitôt la filette sous son aile. Au fil des jours, Lir réussit à convaincre sa nouvelle amie que se débarrasser de Hlin serait une mauvaise chose: la mer ne connaitrait plus de marées, le gel ne briserai plus la cosse des graines, les empêchant de germer au printemps. Sans pêche et sans récolte, l'humanité se mourrait. Sans compter que Habrok, le soleil, entrerai dans une fureur folle. Dans un même temps, Lir apprend que sa sœur a été trahit. Elle est à présent enfermée dans un cachot avec les autres Dressiens. Il y a eu des pertes. Des morts. Lir est la dernière protection de la dragonne mère. Avec sa compagne, elle va devoir tout tenter pour empêcher un massacre. Elles sont deux filles, et vont devoir à elles seules se mutiner et reprendre le contrôle d'un bateau, plein de soldats lassés par un voyage dont ils ne voient pas la fin, et de marins vouant une haine farouche aux femmes. Mais déjà, le dôme est en vue... La mutinerie est tentée alors que le bateau est immobilisé depuis trois jours face à une barrière de récif protégeant le dôme. La tentative est ratée, et les deux jeunes femmes sont modes aux fers, dans la cale. Alors que les tentatives en barque pour trouver un passage dans la roche se poursuivent, Lir entend passer des baleines près de la coque du bateau. S'adressant à elles dans leur langage, la prêtresse les supplie d'envoyer le bateau de par le fond, afin qu'aucun mal ne soit fait à la Lune. Répondant à sa prière, les cétacés s'attaquent au voilier et le fracasse contre les récifs. La mer et ses remous ne tardent pas à avoir raison de l'équipage. Mais un simple légende valait-elle pareil sacrifice?
- 4ème, Mr Rager:
En 165 dans une galaxie appelé Eternia, une petite planete nomée Terre habrite des habitants nomé les Terriens ! La situation connu de la Terre est d'etre divisé en deux peuple, Le peuple de la lune Noir et celui de La lune Blanche, les deux vivent sur le meme continent. Nara est un jeune paysan de 15ans il travaille dans le champ familial situé a la sortie sud de la Capitale de la Lune Blanche, Ether.
Chaque matin Nara travaillé au champ, de 6h a midi il travaillais dur sous le soleil, mais ce matin, quelque chose n'allais pas, l'air de rien il continua son travaille mais aux alentours de 10h quelque chose le frappa: Un Ligre se tenait devant lui, Nara qui n'en avait jamais vu fu impressionner et surpris, le Ligre rugis, puis s'en alla, Nara décida de le suivre... Arrivé a une jetée Nara s'arreta, le Ligre avait disparu, malheuresement Nara s'était perdu, nul n'a le droit d'explorer la foret interdite, Nara le savait et commencé a s'inquiété, soudain un bruit sourd , puis des cris, Nara courru en direction et arriva a l'entrée de la capitale, les champs étaient souillé et la capitale en feu, des cadavres gisaient sur le sol, il apperçu un soldat de la lune Noir, ils étaient repérable a leurs casque a piques noir. Le soldat donna un coup de marteau sur le crane de Nara qui s'écroula dans la seconde...
-"Hé ho ! Réveille toi ! " Un Ange, je suis mort? -"Hé! Répond moi tu m'inquiète!!" -"Je suis mort ?" -"Non mais t'aurais pu ! Je suis Azuki, du village de Nosfer, on ta receullis a la capitale.. Tout est en feu, l'armée de la lune Noir a attaqué, ils on dérobé l'orbe blance..." -"Quoi? Qu'est ce que c'est que cette orbe blanche ?!" -"La légende dit que si l'orbe blanche et l'orbe noir se réunissent et son portée a la lueur de la lune pleine, alors un dragon naîtra! " -"Ce ne sont que des légendes !" -"Biensur que non triple idiot ! Sinon pourquoi l'armée aurait elle réduit en poussière le peuple de la lune Blanche ?!" -"Ma famille... Il y a des survivants?" -"Non, tout les autres sont morts, une marre de sang, tu as eu de la chance.." -"Je dois allé verifier par moi meme!" -"Attend ! Tu ne peux pas, la ville est en train de devenir un berceau pour le dragon, nous t'avons sauver par chance, aucun garde ne nous a surpris !" -"Tanpis, je les tuerais ! Je doit retrouver mes parents!" Un vieil homme rentre dans la salle -"Tant d'agitation, cesse donc de dépenser ton energie pour des sautisent! Je suis Ein, c'est moi qui t'ai secouru, tu ne pourras meme pas approché a 1km de la capitale a l'heure qu'il est tout les soldats on pris place autours de cette ville !" -"Mais qui êtes vous pour savoir tout ça ? ! -"Nous sommes les voleurs, tueurs , brigands, tout ce que tu veux, nous faisont partie d'aucune des nations, nous avons été bannie des nation et nous nous retrouvons dans les montagnes, tu peux nous appeler les rebelles ." -"Puisque vous êtes des rebelles, prenais les armes et allons libéré Ether!" -"Ahahahah ce n'est pas si simple et puis nous ne voulons pas avoir de conflits, tu n'appartient plus a aucune nation, la lune blanche a été déssimé, tu es des notres !" -"Je ne suis pas des vôtre et je ne le serais jamais !" Nara sort du chalet et pars en direction de la capitale mais sur la voie, avant de sortir de Nosfer il rencontre un jeune homme en armure légere qui l'interpelle -"Hé toi, où vas tu ?" -"Je vais a Ether chercher mes parents !" -"Equiper comme tu es ?" (Nara porte ses vetements d'agriculteur) -"Oui, je n'ai pas peur du danger!" -"Dit plus tot que tu n'en a pas conscience, laisse moi t'accompagner, je suis forgeron mais aussi cavalier, je manie l'épée comme je la forge, je te protegerais et t'entrainerais sur la route!" -"Très bien mais tache de ne pas me ralentir.." -"Je pense qu'avec mon cheval j'irais plus vite que toi! Ahahah" Azuki arrive vers eux en courrant -"Attend laisse moi t'accompagner, je ne suis jamais sortis de la montagne, j'aimerais tant découvrir de nouveaux paysages !" -"Très bien, tu nous guidera dans la montagne, maintenant partons !"
Les 3 Aventuriers partent en direction de la capitale, près a découvrire de nouveau horizons !
Après 1jours de marche, nos héros furent fatigué et décidèrent de s'arreter pour la nuit, il venait tout juste de sortir de la montagne, près d'une rivière ils dresserent leurs camp. -"Quels sont vos noms?" dit Azuki -"Je suis Nara." -"Je suis Odin, enchanté Nara et toi qui es tu ?" -"Je suis Azuki, j'ai grandis dans les montagnes." -"Odin, entraine moi a combattre!" -"Comme tu voudras mais je pourrais te blaisser."
Odin donna a Nara une des épée qu'il avait envelopper dans un tissue, il pris une épée en forme de Demi-Lune -"Met toi en garde, les deux mains sur l'épée, c'est une épée lourde, puis essaye de m'attaquer!"
Nara et Odin s'entrainerent toute la soirée puis ils allèrent se coucher...
A l'aube les aventuriers reprennerent la route, ce pendant 3jours puis ils arrivèrent a la capitale. Odin donna l'épée lourde a Nara, et un arc a Azuki -"Tu sais t'en servir?" Demanda le forgeron -"Biensur, je chassais dans les montage avec un arc quand j'était petite" -"Très bien, attention une patrouille, nous allons nous poster en embuscade derrière les buissons là bas, puis nous les attaquerons !" -"Allons y !"
Une fois a leurs poste, une patrouille passa, Odin fit signe a Azuki qui décocha une flèche en plein dans le crane d'un des gardes, Nara sauta de son buisson et explosa la tete d'un des deux gardes restant en criant "YAHAAAAA!", Odin décapita le dernier avec son épée demi lune.
-"Bien joué, tache de faire moin de bruit la prochaine fois, nous sommes dans un endroit assez reculez mais la prochaine fois nous serons plus près." -"Les prisonniers sont surement retenu au chateau, allons voir!" Ils avancèrent et réussir a s'introduir discretement dans la ville, en éliminant au passage quelques gardes, il arrivèrent près du berceau du Dragon, qui était l'ancien chateau.Une vingtaine de garde en gardais l'entrée, Odin mis un plan sur place: -"Nara tu vas servir d'appat, tu courras jusqu'à cette rue qui est un cul de sac, là bas Azuki enverra une rafale de fleches sur les gardes, je m'occuperais des gardes restant." Ils mettèrent leur plan a execution. Azuki eut tué tout les garde dans la petite ruelle sauf un qui paraissait plus tenace que les autres, Nara pris son épée et combatta en duel le gros garde en armure, un coup lui vint sur l'épaule, puis un autre sur la jambe, a terre il tenta de se défendre mais s'en été finis, sfff, une fleche venait de se planter dans la nuque du garde qui s'écroula. Les trois amis se retrouverent devant le chateau puis entrèrent, A l'interieur un chevalier tout de noir vétu les attendais -"Vous ne passerez point !" -"Contourner le, je vais m'en occuper!" dit le forgeron
Un combat démarra entre Odin et le chevalier Noir, Azuki et Nara descendirent au cachot. Les cachots étaient vide, seul un vieux proche de la mort était enfermer: -"Où sont les autres ?!" -"Ah .. *tousse* ils vont etre sacrifier*tousse* pour le dragon *tousse" -"Où se sacrifice a lieu?!" -"*tousse* aucune idée libéré moi..." Nara défonça la porte de la cellule avec son épée, le vieux leurs appris que le toit du chateau était le meilleur endroit pour un sacrifice! Nara et Azuki monterent, une fois arrivé devant la salle où il avaient laisser Odin ils le virent se faire décapité. Nara courra épée a la main pour tuer le chevalier, il lui asséna un coup sur sont plastron puis recevit un coup d'épée qu'il ésquiva, le vieu arriva et marmona quelque chose, une boule de feu sortis de ses mains pour atterir sur le chevalier, Nara en profita pour loger son épée dans son crane. -"Pas le temps de pleurer la mort d'Odin, nous devons atteindre le toit" dit Nara des sanglots dans la voie Une fois sur le toit, le roi de la lune noir ainsi que dix garde pratiqué une invocation, déjà deux des huit survivant de la lune blanche avais été sacrifier, Nara ne trouva pas ses parents dans les visages des sacrifices. -"Qui êtes vous ?!"Grondât le roi -"Nous sommes ceux qui mettront faim a votre Reigne !" Derrière Nara, les rebelles de la montagne apparurent -"Nous sommes venus t'aider gamin!" -"Garde ! Tuez les !" Une bataille s'engagea, Nara n'eut pas de difficulté a arrivé jusqu'au roi pour engager le combat final. Le roi sorti une épée d'une noirceur horrible, entouré d'une aura de fumée noir, Nara le frappa de son épée mais le rois détruisit l'épée d'un simple coup, le vieux qui était en retrait mormona et envoya une boule de feu que le roi arreta, mais le vieu continua et un combat de force s'engagea entre le roi qui poussé l'orbe de feu vers le vieux et le vieux qui faisait de meme vers le roi, Nara pris son épée qui était casser et la planta dans le dos du roi, celui ci cria et baissa sa garde , mais il retenais toujours un peu l'orbe, Azuki tiras deux fléches qui s'embrasèrent dans la boule et venirent se planté dans les yeux du rois. Les combats été finis et les rebelles était victorieux, le vieux avait disparu et Nara récupéra l'épée du roi pour détruire, l'oeuf de Dragon.
- 5eme, Hinata:
The true target :
Du sang? Des larmes? Des cris? Le noir!
-Aaah! Encore...ce cauchemar?!
Depuis que mes parents ont disparût je fais souvent des cauchemars. Je suis Hana Todo, j'ai seize ans et vie seule dans une petite maison à la montagne. Je n'ai pas assez d'argent pour aller au lycée et encore moins pour payer le loyer. Heureusement que ma tante Aya est là.
Tout les jours, ma meilleure amie Meïko, vient sonner à ma porte pour partir faire le marcher. Ont fait nos petites courses, ont discutes avec nos voisins et tout se passe pour le mieux. Mais une heure plus tard Mme Rukoi, la marchande, nous parle d'une légende qui refait surface. Cette légende raconterait que si la lune est rouge, alors les démons aux ails noir viendraient prendre des vies; par contre si la lune est blanche se serait les anges aux ails blanches qui nous protègerait. Mes parents auraient été enlevé? Non, ils m'ont tout simplement abandonné.
Apres le marcher, Je revins chez moi en larmes et une personne tapa à la porte. Ce n'était pas Meïko. C'était Haru! Haru mon meilleur ami! Il est tellement beau! Euh.. non, ce n'est pas ce que je voulais dire.
Il revient après quatre ans d'absence! Mais malheureusement c'est toujours pour son travail. Il recherche sa mère depuis des années, il a toujours pensé que c'était les démons de lune qui y sont pour quelque chose.
Haru est un light , un groupe de personne qui ont à peu près le même âge et recherche de la famille ou des amis qui ont disparût . Mais jamais je n'aurais imaginé qu'il voulait me recruter.
Après hésitation je finis par accepter et dis au revoir à Meïko. Loin de mon village, je serais avec Haru, j'irais dans un grand lycée populaire et je vivrais dans un château avec les tout autres membres du groupe.
J'arrivais à Namida, devant un château. Une fille aux cheveux blanc avec des yeux violet, vêtu d'une magnifique robe bleu, de gants blancs et d'une écharpe me pris dans ses bras et me serra très fort. Elle pleurait et criait sur tout les toits: -Je l'ai enfin retrouvé! Ma soeur, Ma soeur Hana est avec nous!
Apparemment elle s'appelle Kyoko et c'est un démon.
-Et bien Mlle, est-ce là votre vie actuelle? _Oui monsieur Nonako, vous êtes mon psychologue alors je peux tout vous confier, mais gardé-en le secret. -Bien sûr. Et bien je vous demanderez de revenir demain. On va discuter plus en détail de votre vie « fantastique ». -Nous parlerons de quoi demain? -De vos cauchemars fréquents, des anges et démons, de la lune, de vos parents et de votre soeur adoptive. -Vous ne me croyais pas? -Et bien par la suite vous comprendrez que tout cela est impossible. Vous suivez encore le traitement j'espère? -Non, les démons m'ont menacé, j'ai du y renoncer. -Revenez donc demain et après demain.
Je sortie de la salle et alla chez moi.
-Kyoko! Je suis rentrée! -Hana! Vite! La série « anges et démons de lune » à commencé!
- 6eme, Coucounette Power:
MOON
Prologue: Nous sommes en 4900 après J.C. L'être humain a bien sur développé de nouvelles technologie et l'industrie la plus florissante est celle des jeux vidéos. Parmi cette spécialisation, c'est une compagnie japonaise qui se démarque le plus, MOON. Son seul et unique jeu est devenu le plus rentable au monde. MOON the Jump inspiration est un jeu des plus réaliste inventé par le directeur de la compagnie de manga Jump en personne. Le concept de la plate forme du jeu est en soit unique. Il s'agit d'une chaise rembourrée et légèrement incliné vers l'arrière accompagné d'un casque assorti. Quand le joueur s'y installe, le casque capte les zones électriques du cerveau et la conscience de l'utilisateur se déplace dans un monde virtuel. Le principe reste simple, combattre et interagir avec les autres joueurs et tout ça dans les différents mondes de Jump. Chaque membre possède son propre avatar pour ce qui est des déplacements, mais pour ce qui est des combats il doit utiliser les différents personnages de Jump qu'il débloquera avec des points accumulés grâce à des missions ou des duels. Bien sur, même si le concept est basique, cela n'est pas pour autant facile à jouer. Puisque tout vient du cerveau de chaque joueur, ce doit être lui qui visualise et imagine les attaques et déplacements dans ce jeux. De ce fait, plus on a de l'imagination meilleur on est. MOON the Jump inspiration vous souhaite la bienvenue. Bonne partie!
Histoire: Mitsuki est une jeune garçon de 15 ans victime d'intimidation dans son école. Les jours n'étant pas facile pour lui, il se réfugie dans son imaginaire pour oublier et s'en sortir. Un jour, quand il marchait dans la rue, une annonce affichait le jeux MOON the Jump inspiration, un jeu qui requiert de l'imagination. Mitsuki avait enfin l'impression de trouver quelque chose où il pourrait être doué. N'ayant pas d'argent pour acheter la console, à sa sortie il se dirigea dans le premier arcade où il était possible d'y jouer. Par la suite, Mistuki, à force de combats, fait preuve d'un talent et d'une imagination hors pairs. Il devient l'un des meilleurs joueurs au monde.
Quelque jours plus tard, un inconnu semble avoir infiltré le système et plusieurs jeune restent pris dans le comas et donc dans le jeu. Les parents s'opposent à ce nouveau loisir mais impossible d'arrêter un phénomène international très apprécié. De plus si on ferme le jeu on perds les jeunes comateux. Les autorités s'infiltrent dans la partie mais manque de compétence, doivent rebrousser chemin. Seulement, à force de recherche, ils découvrent que les disparus commençaient des niveaux les plus bas en graduant et qu'ils avait perdu un combat contre un jeune homme au masque de fer. Cela amène une théorie, le fautif n'est pas encore assez doué et a besoin de plus de puissance pour s'emparer de ce monde virtuel. Les enquêteurs se tournent donc vers l'un des meilleur joueur Mitsuki. Celui si devra alors rechercher le coupable en enquêtant au près des autres jeunes dans MOON et dans le monde réel et le combattre. Mais l'ennemi à formé un clan et Mistuki ne peut le combattre seul! Il devra alors former une équipe ce qui n'est pas tâche facile pour lui car il n'est pas habitué aux contactes humains et est très timide. Mitsuki tente alors de recruter l'élite, mais de petit combattant désireux de changer les choses se joignent également à lui. Se groupe s'appellera Éclipse et se forme de : Mara(secrètement amoureuse de Mitsuki), Math (un américain extraverti qui n'aime pas se faire donner des ordres), Amarok (L'amérindien beau mec courtisant tout ce qui est femme) et quelques personnage plus secondaires. Après plusieurs combats à rechercher la vérité et des aventures surprenantes, il croise l'un des membres inférieur de l'ennemie qui leurs envoie un message. Mugetsu, l'ennemi juré leurs pose un ultimatum. Ils on plus que 15 pleines lunes avant que leur plan ne soit mis à exécution. Le temps presse mais notre jeune héros prends de l'assurance tout au long de l'aventure.
Il ne reste plus beaucoup de temps et les jeunes gens découvrent la cachette des anti- héros dont leurs clans se nomme Auzo. Une pierre rouge lunaire serait à l'origine de tout ces bouleversement et ce grâce aux mauvaises intentions de Mugetsu qui se révèle être le bourreau d'enfance de notre héros, Mitsuki. Un combat épatant mettant en scène plusieurs personnages connus de mangas s'en suit entre les 2 clans. Bien sûr Mitsuki gagne et Mugetsu s'incline devant lui reconnaissant son talent. La pierre est détruite sous une lune rouge et les jeunes joueurs sont libérés. On découvre également que Mugetsu était battu par c'est parent et que ce jeu était le seul endroit au monde où il se sentait bien. Il voyait les adultes comme des monstres et voulais les séparer de leurs enfant afin de créé un monde nouveau.
MOON engagea ensuite l'Éclipse comme groupe de protection du jeu. Mistuki refusa, pour une fois il voulait quitter sa bulle et ouvrir les yeux sur l'océan et le monde, de plus il avait une amoureuse maintenant (Mara). Enfin il devint heureux mais continua de jouer parfois avec ses amis. Et c'est en regardant le ciel bleu qu'il se dit qu'il était chanceux d'avoir sa vie et enfin des amis sur lesquels il pouvait conter.
- Et enfin, 7eme, Sebast20, avec un texte mélancolique qui n'est pas son habitude:
La nuit était arrivé, il y a maintenant trois heures, il faisait sombre, la seule source de lumière provenait des rayons de la pleine lune. Tout était silencieux, mais des bruits de pas rompirent ce silence. Une silhouette avança, et sous un rayon de la lune elle s’arrêta, elle semblait chercher quelque chose. Cette personne était une jeune femme elle était mince et de taille moyenne, elle avait de long cheveux roux qui avaient la couleur du crépuscule qui lui tombaient jusqu’au bas du dos, elle avait de jolies yeux couleurs verts pomme. Soudain une silhouette fit son apparition juste derrière elle, elle était plus grande, la jeune femme sursauta et se retourna mais on n’y voyait pas de trace de peur, elle semblait connaitre cette personne. L’inconnu s’avança et un rayon de lune lui atteignit le visage, il avait des cheveux bruns en bataille et des yeux bleus ciels. Son visage était couvert de blessures il semblait exténué mais content, il montra du doigt à la jeune femme quelque chose derrière elle, c’était une fleur bleue elle avait la couleur d’un saphir, elle fleurissait sous les rayons de la lune. Ils s’approchèrent, et la jeune femme rompit le silence : - Regardes Anthony, la voilà ! s’exclama-t-elle. - Enfin, après tout ce qu’on a enduré pour arriver à ce sommet. Avec ça, on pourra sauver Cécilia. Vite chérie, prends-là, on n’a plus une seconde à perdre. Emilie s’exécuta. Mais une boule argentée apparut et fonça sur Emilie, mais celle-ci l’évita de justesse. - Ca va chérie ? demanda Anthony. - Oui, mais cette boule argentée, veut nous empêcher de récupérer cette fleur. - Elle est pot de colle, je suis épuisé avec ce golem qu’on a du passer et qui ne nous a pas fait de cadeaux. dit- Anthony. Un bruit métallique se fit entendre, Emilie avait sorti un poignard incrusté d’émeraudes. - Je vais m’occuper de cette chose, toi tu t’occupes de prendre la fleur. Lança Emilie. - Tu sais, normalement c’est à l’homme de s’occuper de ça. grommela Anthony. - Regardes toi dans l’état où que tu es. Alors tu te tais et tu fais ce que je te dis ! s’énerva-t-elle. - Ah, les joies du mariage. dit-il d’un air vague. Faudra que je dis à Denis de ne pas se marier, sinon c’est la tyrannie d’office. soupira-t-il. - Si tu as finis de dire des bêtises, pourrais-tu te dépêcher ! cria Emilie qui avait du mal à tenir tête à son ennemi. Elle est vraiment collante, c’est la deuxième fois qu’elle s’en prend à nous. - Oui, oui j’y vais. dit Anthony en se dirigeant vers la fleur, mais la boule argentée l’interrompit dans sa lancée. Chérie, tu fais quoi là ? Chérie ?! Il se tourna et vit Emilie à terre. Zut, faut que je me bouge. Il était à deux doigts de récupérer la fleur, que la boule se remit à l’attaquer. Bon, là elle m’énerve, je vais donc m’occuper de toi en premier. dit- il en sortant des gants avec des piques sur les phalanges. Bon, à nous deux bouboules. La boule fonça sur lui, mais il lui donna un coup de poing qui la fit voltiger à plusieurs dizaines de mètres. Il se hâta de prendre la fleur, et alla auprès d’Emilie, il jeta un coup d’œil derrière lui et vit que la boule fonça de nouveau sur eux. Il prit Emilie et se jeta dans le vide, il sortit de son sac, une espèce de matelas miniature et le lança vers le sol, celui-ci se gonfla pour se transformer en matelas géant. Emilie et Anthony atterrirent sur le matelas. La boule argentée avait abandonné sa poursuite. - Ouf, j’aurais jamais cru qu’on y arriverait, encore heureux qu’elle ne peut pas aller au-delà de cette barrière, hein chérie ? Chérie ? Ah oui, elle s’est évanouie. Faut toujours que je fasse tout au final. - Je t’ai entendu. marmonna-t-elle. Mais je ne dirais rien car tu as récupéré cette fleur. - Toi aussi tu étais épuisée, avoue. dit Anthony en souriant. - En tout cas moins que toi, alors s’il te plait tu te tais. lança t elle. - Je ne sais vraiment pas pourquoi je t’ai épousé. plaisanta t il. Et si on allait se coucher, car avec tout ça on est exténué et on ne pourra pas utiliser la BykeEnergy dans ces conditions. - Tu as raison, une bonne nuit de sommeil, ne nous fera pas de mal. Bonne nuit, mon amour. - Ah, enfin un mot gentil. dit Anthony joyeux. Bonne nui ma chérie, fais de beaux rêves. Demain on retrouvera nos garnements. finit-il avant de s’endormir. La nuit laissa place à l’aube, les doux rayons du soleil réveillèrent Anthony. Celui-ci se leva et vit une moto en face de lui. - Bonjour mon amour. salua Emilie en l’embrassant. Tu as bien dormi ? - Bonjour chérie. Oui, j’ai bien dormi avec la journée d’hier. J’ai hâte de rentrer à la maison. - Oui moi aussi, mais je suis inquiète, pour Cécilia, si jamais c’était trop tard. paniqua t elle. - Calme toi, Cécilia est une fille forte, déjà elle arrive à mettre à terre son frère alors qu’elle à deux ans de moins. Et si tu n’est toujours pas rassurée il y a Madame Hildgarde. Alors ne t’en fais pas. dit Anthony d’une voix assurée. - Oui, tu as raison. Je m’inquiète pour rien, ton optimisme me rassure toujours. dit Emilie un peu soulagée. - Bon, on se met en route. dit Anthony, en train de démarrer la BykeEnergy. Ils se mirent en route et finirent par quitter la forêt puis le ravin. Tout deux n’avaient pas dit un mot depuis leur départ. Vers le début de l’après midi ils avaient parcouru la moitié du chemin. Ils arrivèrent dans leur ville à la tombée de la nuit. Leur maison, se trouvait sur une colline un peu éloignée de la ville, tout était calme. Une fois arrivés chez eux, ils furent accueillis par une vieille dame : - Enfin, vous voilà ! Dépêchez-vous, l’état de la petite s’empire de minutes en minutes. dit-elle affolée. Vous avez la fleur ? - Oui, on l’a. dit Emilie en montrant la fleur. - Et Denis où il est ? - Oh, le pauvre garçon, depuis que vous êtes partis, il a surveillé sa sœur jours et nuits sans dormir. Il était tellement inquiet à son sujet, qu’il n’a pas cessé de dire que pour demain c'est-à-dire son anniversaire, que Cécilia guérisse. Il tenait à peine debout que je l’ai envoyé se coucher. - Et bien il va être content, maintenant avec la fleur, Cécilia sera guérit. dit Anthony. - Bon, on va vite la réduire en poudre et ajouter de l’eau c’est bien ça Madame Hildgarde ? demanda Emilie. - Oui, mais laissez moi faire j’en ai pour deux minutes. Vous aller voir votre fille elle à besoin de vous. ordonna t elle. Les parents, allèrent voir Cécilia, quand ils entrèrent, Emilie étouffa un cri. Cécilia était dans un état affreux, elle était tout en sueur, elle tremblait et elle semblait respirer difficilement. - Cécilia ! s’exclama Emilie. Cécilia tu m’entends ? Réponds-moi ? - Ma…man, papa. Vous êtes de re…tour. dit-elle d’une voix faible. - Oui, ma puce. On t’a ramené un remède. dit Anthony. Les deux parents restèrent accroupis pendant quelques minutes, quand Madame Hildgarde arriva avec le remède. - Tenez, faut lui faire avaler ça. dit-elle en tendant le remède à Emilie. Au même moment où Emilie recevait le remède, un bruit se fit entendre à l’extérieure de la pièce, c’était comme ci quelqu’un avait tombé des escaliers. Soudain, quelqu’un apparut a l’entrée de la pièce c’était un petit garçon, il regardait les trois personnes dans la pièce et eut un sourire et cria : - Maman ! Papa ! Vous êtes enfin là, alors vous avez le remède ? - Oui, fiston on a le remède. lui répondit Anthony. Dis est ce que par hasard, ça serait toi qui serais tombé des escaliers ? - Euh, oui. J’ai entendu des voix provenant de la pièce où était Céci et je me suis précipité et j’ai manqué une marche dans l’escalier et je suis tombé. - Tu es vraiment maladroit Denis. lui lança sa mère. Tu arrives au bon moment, nous étions sur le point de donner le remède à Céci. Tiens Céci, bois ceci. dit-elle en le lui faisant boire le remède. Quand elle a bu le remède, quelque chose d’étrange se passa, une lumière argentée émanait du corps de Cécilia. - Qu’est ce qui ce passe ? Céci ! cria Denis et son sourire s'effaça d'un coup. - Il y a un truc qui cloche. remarqua Emilie. - Madame Hildgarde, comment ça se fait que cette lumière émane du corps de Cécilia juste après lui avoir donné le remède ? interrogea Anthony. - Je ne sais pas, mais … mais ça ne peut pas être ça. dit-elle en réfléchissant. Cette enfant serait elle celle de la légende ? - Quoi ? Quelle légende ? demanda Emilie. - Eh bi… commença t elle mais elle fut interrompue par Cécilia. - Maman ! Papa ! Au secours ! supplia t elle, alors que la lumière commença à devenir de plus en plus intense. - Cette sensation, je l’ai déjà ressenti. fit remarquer Anthony. Emilie, tu l’as aussi ressentie. - Oui, maintenant que tu le fis remarquer, mais je ne sais plus quand j’ai ressenti ça. Soudain, Emilie et Anthony crièrent à Madame Hildgarde et Denis : - Vite partez ! Ca va exploser ! Madame Hildgarde prenez Denis et partez ! Nous on va essayer de retenir un peu l’explosion. - Maman, papa qu’est ce que vous racontaient ? demanda Denis les yeux baignés de larmes. - Ne vous occupez pas de nous. Allez-vous en ! ordonna Emilie. Mais au même moment Madame Hildgarde tomba et se foula la cheville. - Aïe, ce n’est pas de chance. Denis pars tout seul, ne t’occupes pas d’une vieille comme moi. - Je… Je ne peux pas faire ça. Je vais vous aider, accrochez vous à mon épaule. dit Denis, il aida Madame Hildgarde. Mais celle-ci refusa son aide - Mon garçon, ne fais pas attention à moi ni à tes parents. Sauve ta peau. - Dêpeche toi Denis, fais ce que dis Madame Hildgarde ! s’écria Anthony qui avait entendu tout ce qu’il s’est passé. - Maman, papa, Denis et Madame Hildgarde, je … je suis désolée. sanglota Cécilia qui semblait se remettre alors que la lumière argentée semblait de plus en plus intense et plus vive. - Céci, ne dis pas de bêtises. dit Emilie d’un air grave. Tu n’est pas responsable. - Exactement, c’est comme ça on n’y peut rien. ajouta Anthony. Et là, la lumière semblait sur le point d’exploser, plus rien ne sembler l’arrêter et d’un coup elle explosa dans toute la maison. - JE SUIS DESOLE !! hurla Cécilia. - DENIS, SAUVE-TOI ! s’exclamèrent ses parents, pendant qu’ils semblaient retenir l’explosion. - VITE MON GARCON ! ordonna Madame Hildgarde. Mais celui-ci, semblait pétrifié sur place par la vu de sa sœur qui était le centre de l’explosion et vit que ces parents et Madame Hildgarde semblaient être pris dans cette lumière argentée explosive et soudain Denis sentit cette lumière et se dit : c’est la fin. Mais bizarrement il senti une chaleur envahir son cœur, et ensuite une vague glacial lui tailladée le corps. Et la lumière argentée explosa, ce qui détruit la maison ainsi que les environs. Pour finir cette lumière argentée s’éleva dans le ciel et disparut. Des voix se firent entendre, non pas dans le ciel, mais dans le cœur de Denis, elles disaient : - Denis, on est désolé. On n’a pas put sauver Cécilia, excuse nous. Mais on a était heureux de t’avoir eu comme fils. Vis ta vie et n’oublies pas qu’où que tu sois, ta famille sera toujours avec toi dans tes souvenirs et ton cœur, remplace les larmes par des rires. On t’aime Denis. Et la nuit se finit, et la journée commença. Des habitants de la ville avaient déjà commencé, à fouiller la maison pour rechercher des survivants, seul Denis avait survécu. Il fut réveillé aussitôt qu’il fut sorti des ruines. Il semblait en pleine forme mais à l’intérieur, celui-ci ressentait un vide : où il était ? Qu’est ce qui s’était passé ? Qui il était ? Et le plus important pourquoi il était triste ? Il semblait que cette lumière argentée avait épargné Denis, mais lui avait volé tout ses souvenirs. Une nouvelle vie se dessina devant Denis, par ce triste jour qui était son anniversaire, mais bien sur il ne le savait pas.
Dernière édition par ellia le Jeu 21 Fév 2013 - 18:35, édité 1 fois |
| | | kubota
Spécialité : Dessin Messages : 177 Date d'inscription : 20/01/2013
| Sujet: Re: Histoire à thème - Editions I et II Dim 17 Fév 2013 - 11:50 | |
| Salut a tous Il est temps de relancer cette Event avec un nouveau thème : Les bulles Explication des règles par Erane (modifié un peu pour cet Event): "Je vous salue, amateurs de la plume ! Le but de ce concours sera de vous montrer les plus imaginatifs possible, en écrivant un scénario (de manga ou de roman, peu importe). Ce scénario devra tourner autour d’un mot clé et le développer pour créer toute une histoire avec. Je ne vous demande pas d’écrire l’histoire dans ses moindres détails, mais plutôt d’en faire une synthèse, un résumé. Mais plutôt que faire un long discours sur comment faire, je vais vous donner un long exemple : Prenons le mot clé : « bleu » Vous me direz que c’est très vague et vaste comme mot, mais il permet alors de laisser libre cour à votre imagination. Croyez-moi, c'est bien plus facile qu'un thème strict. Note: Vous n'êtes pas obligés de lire toute l'histoire, cet exemple est là pour vous donner une idée de ce qui est attendu. Il vous faudra d’abord définir le contexte, de dire quelle est l’histoire du monde ou votre scénario prend place : - Spoiler:
22ème siècle, la fin des ressources fossiles, pétrole, gaz et charbon fit plonger le monde dans les guerres les plus importantes de l’humanité pour s’approprier les derniers gisements. Un milliard de vies furent perdues. Les différentes nations se terrèrent alors dans leur pays, chacune se coupant du reste du monde. Alors, plutôt que de s’affronter directement, les différentes factions en guerre se lancèrent dans la fabrication d’armes biologiques, des virus devant décimer l’ennemi, mais ne touchant pas sa population grâce à un antidote. Mais un jour, en 2174, un de ces virus muta, et se mit à détruire rapidement toute forme de vie terrestre, plantes et animaux, sans que personne ne puisse le combattre. L’humanité était sur le point de disparaître. Mais rapidement, des scientifiques dans des régions pas encore touchées remarquèrent que le virus ne pouvait descendre dans l’eau, les animaux marins survivaient. Ils lancent alors le projet de construire des villes sous-marines capable de survivre sans accéder à la surface, une seule fut achever avant l’arrivée du virus. 1000 personnes survécurent là, dans des bulles d’une matière transparente et imperméable, ou on pouvait vivre grâce à un appareil extrayant l’oxygène de l’eau. Ils vécurent là pendant un siècle, sans espoir d’un retour à la surface, tandis que la direction de la ville se transformait petit à petit en tyrannie. Jusqu’au jour où…
Ensuite, place à votre histoire!- Spoiler:
Lors d’une sortie de chasse sous marine sur son vibropulseur (scooteur aquatique), Adma (notre héros, un jeune homme de 18 ans) découvre une bulle (habitation aquatique) isolée loin de la cité. Mais soudain, un aqua-tank (transport aquatique) arrive et s’arrête devant cette bulle et deux hommes y pénètrent. Maerry en fait le tour et se colle à la paroi de l’autre coté. Il aperçoit 3 hommes discuter violement, mais ne peut rien entendre. Il colle alors un appareil de sa fabrication qui lui permet d’écouter à travers ces parois. Il apprend que le possesseur de la bulle est un chercheur et semble avoir découvert quelque chose que les deux hommes souhaitent s’accaparer. Il les scrute attentivement, et reconnaît le dirigeant de la cité!
Le chercheur refuse de leur céder le fruit de ses recherches. Les deux hommes agacés, le descendent et s’emparent de tout son matériel et de ses notes. Puis s’enfuient. Adma voit que le chercheur est encore en vie, dès que l’aqua-tank est hors de vue il se précipite dans la bulle. Dans son dernier souffle, le chercheur lui apprend qu’il avait trouvé un antidote pour vivre en surface. Il lui montre alors un dossier caché dans un double fond de son bureau, puis décède. Quand il quitte la bulle, celle-ci explose, emportant le professeur avec elle. Bouleversé, Adma rentre chez lui et retrouve Evee (se prononce Evy), sa fiancée. Tout deux orphelins depuis un accident d’aqua-tank, ils se connaissent depuis l’enfance et ont toujours tout partagé. Il lui raconte alors sa journée et ensemble regardent le dossier. Le professeur a découvert une huitre qui vit juste sous la surface de l’eau, la où le virus à encore un effet dévastateur. Il se révèle que cette huitre possède une perle bleu sur laquelle vit une bactérie capable de défendre n’importe quel être vivant contre le virus. Il a dors et déjà fait des tests, il s’est rendu lui-même en surface, et a réussi à refaire pousser des plantes. Puis il a recomposé une faune basique à l’aide d’une couveuse artificielle. Le seul inconvénient de sa bactérie miracle est qu’elle n’est pas contagieuse, elle se transmet uniquement de génération en génération, où alors en ingérant la perle. Pour les plantes, il utilisa de la poudre de perle comme engrais et depuis elle se transmet par les graines. Une carte dans le dossier indique l’endroit où se trouvent ces perles bleues. Nos deux compagnons, survoltés foncent prendre un vibropulseur et s’y rendent. Mais ils oublient de fermer leur appartement, et leur comportement étrange pousse une personne pas très fréquentable à y rentrer et elle y trouve le dossier. Il finit rapidement dans les mains du dirigeant qui sourit alors, son seul but étant de garder les perles pour lui et sa famille et devenir le dieu du nouveau monde, mais il n’a pas la carte. Adma et Evee rentrent avec deux perles (elles sont très rares) au moment où il ferme le dossier. Voyant que le dossier a disparu, ils décident de prendre de cour le dirigeant en brulant la carte qu’ils connaissent désormais et en se rendant à la grande place pour tout expliquer à tout les habitants présents. Mais à la place du grand soulagement de tout les gens présents auquel ils s’attendent, lors qu’ils sortent les perles, tout le monde se précipite vers eux pour tenter d’en manger dans une énorme cupidité. Ils sont alors extrêmement déçus de la nature humaine et n’éprouve plus l’envie de les aider. A ce moment là, le dirigeant arrive avec ses hommes de main, dont un armé d’une mitrailleuse, qui pourtant n’a pas sa place dans une cité sous marine. Cet idiot tire une salve en l’air pour calmer la foule, mais personne ne se rend compte de la gravité de son geste. (Le plafond est une bulle de verre très épaisse.) Nos deux compagnons avalèrent alors leur perle, pour éviter qu’elle ne tombe entre les mains de n’importe qui. Le dirigeant leur demande la carte et entre dans une colère noire lorsqu’il apprend qu’ils l’ont brulé. Devant le refus des deux jeunes gens de dire où les perles se trouvent, il menace d’en tuer un s’ils ne révèlent pas l’endroit où les trouver. Mais nos deux héros savent qu’il les exécutera certainement après, ainsi que toutes les personnes présentes pour être sûr de garder le nouveau monde pour lui. Au moment où il va descendre Adma, la paroie de verres fragilisée par la salve de la mitrailleuse se rompt. La salle se remplit alors d’eau à une vitesse vertigineuse. Tout le monde saisi alors son RAS (Respirateur aquatique d’urgence), mais ils savent être perdus car la grande salle communique avec toute la cité et en haut le virus les attend. Devenus fous, le dirigeant et ses hommes tirent dans tout les sens. Adma prend alors une balle dans le flan, qui ne le pénètre pas, mais lui brise une cote. Puis les armes prennent l’eau et deviennent inutilisables. Peu de temps après, la salle est pleine d’eau, et Adma et Evee nagent alors péniblement et quittent la bulle. Puis ils remontent à la surface. Là, non sans appréhension, ils retirent leur masque, voyant d’autres personnes ayant perdus le leur se tordre de douleur sous l’attaque du virus. Mais eux peuvent respirer à pleins poumons sans aucune mauvaise réaction. Ils rejoignent alors la côte où ils trouvent la fameuse forêt créée par le chercheur. Ils sont émerveillés devant cette nature verdoyante, très différente des fonds marins. Main dans la main, ils font le premier pas sur ce nouveau monde, derniers humains d’une ancienne époque, premiers humains avec une côte cassée d’une nouvelle ère.
Voila le genre de texte qui est attendu: pas trop résumé, mais pas trop long non plus, car ceux qui devront vous noter n’auront pas forcément envie de lire 20 pages. Cet exemple montre ce qu’on peut faire en seulement deux heures, donc bien évidemment, j’attends mieux de vous tous. =) Bonne imagination et bonne écriture. A vos plumes, prêts, écrivez ! Précision importante: Une histoire complète et la présentation de l'univers sont attendues!
Pour cette session, le mot sera: BulleLe concours prendra fin le 15 mars et les textes seront postés le 16 mars Bonne chance! Soyez rapides, et surtout efficaces! Une fois votre texte fini, envoyez-le par MP à ellia! Lots: Une médaille sera à gagner" Voila bonne chance à vous tous et que l'Event commence !!!! Participants : -sebast20 [reçu] -ChibiDevil [reçu] -Himari [reçu] ..... | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Histoire à thème - Editions I et II Jeu 21 Fév 2013 - 10:51 | |
| Point info: La date indiquée dans le message du Kubota était erronée. Les textes sont à rendre avant le 16 MARS et non mai. Merci de votre attention! |
| | | sebast20
Spécialité : Scénario Messages : 215 Date d'inscription : 19/01/2013
| Sujet: Re: Histoire à thème - Editions I et II Jeu 21 Fév 2013 - 20:41 | |
| Aller comme c'est bientot les vacances je vais y participer !
En plus le thème des bulles c'est tripant je trouve 8) Bonne chance à ceux qui participeront :D | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Histoire à thème - Editions I et II Ven 1 Mar 2013 - 11:13 | |
| Avis à tous, petit rappel: il reste deux semaines avant le début des votes pour cet event. N'hésitez pas à vous inscrire! |
| | | Asphodèle
Anciennement : ChibiDevil Spécialité : Dessin & Scénario Messages : 948 Date d'inscription : 19/01/2013
| Sujet: Re: Histoire à thème - Editions I et II Mar 5 Mar 2013 - 15:27 | |
| je m'inscris ! ^^
j'hésitais parce que j'avais pas beaucoup d'idées, mais l'inspiration est remontée xD
je rendrai mon texte à temps ;) | |
| | | Himari
Spécialité : Dessin Messages : 165 Date d'inscription : 19/01/2013
| Sujet: Re: Histoire à thème - Editions I et II Jeu 7 Mar 2013 - 13:32 | |
| Je participe également ^^ J'avais écris un texte,au cas ou personne ne s’inscrive après seb' (chibi' s'est inscrite) mais ça me soule d'avoir écris un texte pour rien donc voilà..! X)
Bonne chance chibi' et l'hespoirien ;)
| |
| | | sebast20
Spécialité : Scénario Messages : 215 Date d'inscription : 19/01/2013
| Sujet: Re: Histoire à thème - Editions I et II Jeu 7 Mar 2013 - 15:04 | |
| Super ! Deux adversaires en plus ! èé
Allez les forumeurs plumeurs encreurs ! Faisons tous de bon textes pour appâter plus de monde 3:
Donnons nous à fond ! | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Histoire à thème - Editions I et II Mer 13 Mar 2013 - 16:54 | |
| Nous rappelons aimablement aux membres qu'il leur reste deux jours pour rendre les textes, pour les inscrits, et pour s'inscrire en dernière minute pour les autres. Bonne journée! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Histoire à thème - Editions I et II Ven 15 Mar 2013 - 18:10 | |
| Salut à tous! Tous les textes ayant été rendu à l'heure, j'ai le plaisir de vous les présenter un chouilla en avance! Nous avions trois participants, mais un concurrent mystérieux c'est ajouté à la course en dernière minute! Son identité vous sera dévoilée lors des résultats des votes, dans deux semaines -sous entendu, vous avez deux semaine pour voter-. Afin que les votes soient justes et équilibrés, nous vous demanderons de remplir la grille de note ci-dessous. Je rappelle que les consignes données étaient très précises. En effet, le texte devait comporter: -Une présentation de l'univers dans lequel se déroule l'histoire. -Un résumé de l'histoire. Je rappelle qu'une histoire comporte une phase d'exposition, un élément perturbateur, le développement et le dénouement, l'histoire devant être complète. - Grille de notation, à retourner par mp à ellia:
Numéro du texte:
Respect du thème (bulle) : /3 Respect des consignes : /3 Qualité du texte (syntaxe, orthographe, etc): /2 Appréciation personnelle : /1 Originalité : /1
Total: /10
Sans plus attendre, voilà les textes! - Texte n°1:
Thème bulle
Contexte : Dans la fameuse ville de Caen à notre époque où la science et la technologie sont très importantes se trouve Dimitri un jeune homme de vingt deux ans qui adore tout ce qui a trait à la science. Un jour il découvrit dans un magasin où on vent de tout un petit carnet nommé la bulle vivante. En le parcourant il se rend compte qu’il y a tout ce qu’il faut pour créer un bonhomme bulle vivant doué de parole. Son esprit de scientifique ne pouvant tenir à la tentation il n’hésite pas une seule seconde à mettre en application son idée. Et c’est ainsi qu’est né : Bilbulle.
Au début ils s’entendaient bien, Dimitri était fier d’avoir crée une bulle parlante et Bilbulle reconnaissant envers lui pour lui avoir donné la vie. Cependant un jour Bilbulle découvre l’atrocité des bulles qui explosent à la télévision. Fou de rage de voir ses semblables êtres traités ainsi, il prend la décision de se révolter et de protéger sa race. Il se sert de la formule que Dimitri a découvert pour le créer et commence à créer des soldats jusqu’au moment où le jeune homme rentre dans son appartement…
La guerre a commencé !
Histoire :
Appartement de Dimitri : 10h
Dimitri découvre avec effroi et une petite pointe de fierté plein de bonhommes en bulle qui sont très petits. Tous son des répliques exactes de Bilbulle. Il y a un problème, un gros, enfin un énorme quand son ami bulle de savon lui explique qu’il a l’intention de sauver ses compagnons de la cruauté des êtres humains en faisant une révolution. Il a oublié un détail, un très léger détail, les bulles sont fragiles et il n’en fallait pas plus de cinq minutes à Dimitri pour réduire son armée à un amas de soldats transparents. Malheureusement il n’a pas le cœur à détruire Bilbulle et puis après tout il n’est pas si dangereux. Qu’est ce qu’il peut bien faire avec des bonhommes bulles qu’une aiguille suffit à les faire disparaitre ?
Appartement de Dimitri : 11h
Cependant Bilbulle est bien décidé à sauver sa patrie quoi qu’il arrive. Il recommence et à chaque fois ses soldats sont vaincus par Squik le furet de Dimitri jusqu’au moment où un des soldats bulles prend le contrôle du petit animal en rentrant à l’intérieur de lui et en englobant son cerveau avec sa bulle prenant donc contrôle de la bête. Savourant cette découverte il prend le contrôle des habitants de l’immeuble puis bientôt de la rue et ainsi de suite jusqu’à la ville entière.
A la sortie d’un hypermarché pas loin de l’immeuble de Dimitri : 12h
Tandis que Bilbulle continue à agrandir son emprise sur la ville petit à petit il a pris la décision de supprimer son ami et créateur pour éviter toute complication. Trois hommes envoyés. Résultat : les trois au tapis. Dimitri ne s’est pas laissé faire et se dépêche de retourner à son appartement. Les trois idiots lui ont tout raconté avant de voir d’un peu plus près le pays des rêves. Manque de chance l’immeuble est bien gardé et tout ce qu’il a réussi à faire c’est de partir les jambes à son coup. Plusieurs délinquants avec des battes sont amplement suffisants pour en faire de la bouillie façon Bilbulle. Il doit trouver un moyen pour supprimer ces soldats bulle qui se sont pris d’affection pour le contrôle du cerveau humain et ainsi atteindre Bilbulle.
Appartement de Dimitri : 13h
Certains humains arrivent à repousser les soldats bulle dans leur cerveau. Ils découvrent assez vite le problème qui est un peu surnaturel à leur gout. Harry un ami de Dimitri qui était contrôlé essai de le joindre et propose un rendez-vous. Ils sont cinq en tout à la sortie de l’immeuble plus que deux. La cause ? Embuscade. Bilbulle ne voulait pas laisser s’échapper ses irréductibles gaulois. Harry et une autre fille se hâtent de rejoindre Dimitri tout en remarquant que la ville est déjà bien touchée par l’invasion.
A la gare de Caen : 13h16
Kyle et Diane (frère et sœur de Dimitri) attendent leur frère. Pas de chance ils ont pour accueil des soldats bulle qui tentent de les contrôler. Aidés par les autres voyageurs ils ne leur laissent pas de cadeaux. Mais juste après ce sont des hommes qui viennent avec une annonce comme quoi les bulles auront désormais le pouvoir. Amusés, inquiets, curieux, il y a toute une palette d’expression sur les visages des voyageurs jusqu’à se transformer en peur voyant que des policiers bullatisés viennent les aider à rester sage. Un message de Dimitri sur le portable de Kyle leur explique la situation et demande de les rejoindre s’ils arrivent à s’échapper évidemment. Diane se sert d’un extincteur pour tenir les assaillants en respect. Noyé sous l’assaut les assaillants retrouvent leur esprit. Les bulles contrôlant leur cerveau ont crevé.
IUT de Caen : 14h10
Dimitri cherche un moyen pour réparer son erreur dans le super espace vert de l’IUT. Il reçoit un appel de son frère et de sa sœur enfin ! Il explique la situation puis reçoit une leçon de morale de la part de son petit frère et petite sœur pour ne pas changer les bonnes habitudes. Ensuite Kyle lui explique que l’extincteur a rendu les esprits à ceux qui ont eu le malheur d’être attaqué par Diane. Dimitri a comprit ce qu’il s’est passé et demande à Kyle de se retrouver à l’IUT à 17h avec divers équipements. Pour faire bonne mesure il appelle Harry pour lui faire passer le message. Juste après il appelle un de ces amis pour lui expliquer la situation. Juste après avoir passé le message il se fait assommer par de jeunes étudiants bullatisés eux aussi le faisant rejoindre lui aussi le pays des rêves.
Dans un tram : 14h20
Harry et la fille se rendent vers la caserne des pompiers pour récupérer des extincteurs. Cependant ils sont découverts par d’autres personnes bullatisés et sont encerclés. Le tram s’arrête et ils s’enfuient toujours traqués par les soldats bulle. Ils sont pris en embuscade par d’autres ennemis et sont encerclé en quelques minutes. Harry étant peu doué en combat s’annonce vaincu mais la fille qui parle enfin dit qu’elle va mettre un terme à cette histoire. Elle désarme un homme et s’en sert pour leur libérer le chemin. Les soldats bulle ne se sont pas encore habitué aux corps donc leur mouvement sont désordonnés. Une chance pour les deux fuyards. Et ils en profitent sans aucune gêne devant tout ces malheureux à terre. Juste au moment où ils traversent la route un camion de pompiers s’arrête juste à quelques mètres d’eux. Et Harry reconnait leur ami Mickael. Celui-ci avec ses collègues sortent et attaquent les personne bullatisés avec leur lance à eau à très basse puissance. A leur grande surprise les gens reprennent le contrôle de leurs mouvements. Les bulles avaient éclatés sous la pression.
IUT de Caen : 14h25
Dimitri est de nouveau libre, il a été libéré par un soldat bulle qui respecte beaucoup les humains. Il a vu des gamins jouer avec des bulles et en apercevant leur joie et leur amusement il s’est dit que cela en valait la peine d’être éclaté vulgairement si ça pouvait faire rire des enfants. Dimitri avec l’aide du traitre essai de se retrouver dans un coin tranquille. Il remarque un agent de maintenance s’occuper d’une machine électrique. Quelques secondes après, il se prend un coup de jus et se réveille en disant qu’il ne sait absolument pas ce qu’il fait ici. Il a été bullatisé ! Et grâce à ça, lui et le traitre ont la même conclusion. Il faut qu’il rappelle tout le monde pour faire sa liste de course. Oublions les extincteurs !
Dans un magasin Intermarché : 15h
Kyle et Diane foncent à travers les rayons et prennent ce qu’il faut pour leur frère tandis que leurs alliés continuent de débullatisé les soldats bulle. Mais ils sont à court de munitions et se font capturé. Bilbulle veut les voir pour avoir plus d’informations sur cette débullatisation.
IUT de Caen : 15h30
Dimitri avec l’aide du traitre est en train de réunir quelques pièces en désossant quelques machines. Les professeurs ne vont pas être contents et il aura surement des comptes à régler car il fait souvent ce genre de choses mais il s’en fiche un peu. Il reçoit un message de son frère : un message d’aide et l’endroit où ils se trouvent. Paniqué il appelle Harry lui disant de sauver son frère et sa sœur. S’ils sont capturés et qui sont incapable de lui donner ce dont il a besoin, son plan serait fichu ! Il n’a pas du tout la fibre familiale.
Près de l’immeuble de Dimitri : 16h48
Il y a beaucoup de monde ici, beaucoup trop pour un simple immeuble. L’un des soldats bulle explique qu’il y a peu, plusieurs personnes ont tenté de s’en prendre à leur chef. Ils n’ont eu aucune chance et ils ont été bullatisé proprement. C’est le sort qui les attend mais avant ils vont servir d’appât pour capturer Dimitri. Diane et Kyle savent très bien que ce qui pourrait pousser Dim à les sauver c’est le fait qu’ils ont ce dont il a besoin. Soudain un jet d’eau percute leurs ravisseurs. Un camion de pompier est en train d’arroser tout le monde et Diane reconnait Harry le meilleur ami de son frère. Celui-ci leur fait signe de venir. Sans hésiter elle, Kyle et les quatre autres personnes qui sont avec eux depuis le début de cette triste histoire s’enfuient avec le camion de pompier.
IUT de Caen : 19h30
Avec l’aide de tout le monde Dimitri a pu finir son invention. Il s’empresse d’expliquer son idée. Les extincteurs c’était bien comme idée mais cela n’était pas assez efficace car aussitôt débullatisé un autre soldat bulle en reprenait le contrôle. Il faut donc débullatisé tout le monde d’un seul coup et cela grâce à l’électricité ! Il montre sa machine expliquant qu’elle est capable de fournir une tension suffisante pour faire exploser le soldat bulle sans causer de dégâts irréversibles à l’être humain. Il aura juste un peu mal partout comme s’il avait couru un marathon. Le but est donc d’étendre le champ d’action de la machine grâce aux accumulateurs. Ceux-là doivent être répartir un peu partout dans la ville pour être efficace et comme il risque d’être en manque d’énergie il faut en emprunter à la centrale électrique évidemment sans autorisation. Ensuite le problème de Bilbulle est abordé, Dimitri prend la décision qu’il faut l’éliminer malheureusement car il continuera à vouloir la révolution des bulles. Et c’est le scientifique qui va s’en occuper. La fin de cette guerre doit être prévue pour 21h30.
Au nord de Caen : 20h
Harry et Sam (la fille qui a enfin dit son prénom) accompagnés de deux autres personnes mettent en place le premier accumulateur. Cette zone est sous le contrôle total des soldats bulle ce qui rend difficile le placement des accumulateurs. Il ne leurs en reste plus que deux à mettre dans cette partie de la ville. Au détour d’une rue ils font la rencontre d’une troupe de personne, une dizaine environ et manque de chance ceux sont des soldats bulle ! Aussitôt repérés ils prennent leurs jambes à leur cou et Harry téléphone à Dimitri comme quoi ils auraient un petit retard sur le planning.
A la centrale électrique : 20h15
Une rude bagarre est en train de se dérouler. Mickael est ses collègues ont été pris en embuscade. Ils ne comprennent pas pourquoi il y a plus de gardes que d’habitude. Il y a un problème dans tout ça, leurs ennemis ont l’air d’être au courant de leur plan. C’est la seule supposition plausible. Il s’apprête à prévenir son ami mais un coup de batte sur son téléphone l’en empêche. Pour l’instant tant pis, Dimitri comprendra bien assez vite qu’ils se sont fait avoir. Enfin, il l’espère. Là il devait réussir à prendre le contrôle de la centrale et ce n’est pas gagné. Deux de ses collègues utilisent la lance à eau de leur camion et font vite le ménage. Les soldats bulle se replient face à cette puissance. L’assaut commence !
Le centre-ville : 20h46
Il y a un gros problème. Un Giga comme le dit Kyle. Le centre-ville est sécurisé au moindre mètre carré par un nombre surprenant de personne. Comment ça se fait ? Avec autant de monde il va être difficile, voir impossible de mettre les deux accumulateurs. Diane, pendant que Kyle et les autres cherchent une idée, téléphone à son frère pour lui expliquer ce qu’il se passe. Juste après avoir raccroché Kyle trouve une idée. Lui et un type vont servir de leurre afin de laisser aux autres le chemin libre.
IUT de Caen : 20h50
Que faire, que faire, que faire ? Diana à raison. Leurs ennemis sont au courant de leur plan. Mais comment ? Depuis le début il soupçonne le soldat bulle traitre de servir d’espion à Bilbulle, mais Dimitri ne l’a pas lâché d’une semelle et en plus le traitre l’a aidé à chaque fois. Cela ne pouvait donc pas être lui, il avait toujours gardé un œil sur ce type et il n’y avait rien d’anormal. Alors qui est le traitre ? Ils sont trois, lui, le traitre et un type sympa amené par Diane et Kyle. Dimitri se méfiait toujours du traitre et donc il avait demandé à ce qu’une personne reste avec lui au cas où le soldat bulle changerait de camp. Quand il se retourne vers les deux types pour expliquer le problème il se retrouve avec un pistolet sur la tempe. En gros c’est le mec sympa qui a servi d’espion. Le soldat bulle traitre lui est complètement assommé. Le plan de Dimitri est en train de s’écrouler comme un vulgaire château de cartes. Il doit absolument faire fonctionner la machine pour 21h30 précise. Mais avec un flingue collé à la tempe cela va être un peu compliqué. Et merde !
Sur la route de l’IUT : 20h55
Bilbulle encadré par ses soldats se dirige vers l’IUT. Il est satisfait, il sait depuis le début que Dimitri est un danger pour lui et qu’il n’hésiterait pas à se débarrasser de lui si c’est pour réparer son erreur. Il a un peu de regret cependant, Dim est un humain certes mais c’est aussi le seul ami qu’il n’a jamais eu. Depuis un mois ils se connaissent et il aurait tout donné pour que son ami scientifique participe avec lui à la création de son nouveau monde de bulle. Mais Dimitri n’en a pas l’intention, au contraire il veut le détruire mais dommage pour lui son plan a échoué. Il avait placé des hommes dans les points visés et jamais ils n’arriveraient à le mettre à exécution. Il voit enfin le bâtiment. Cette stupide rébellion va être enfin finie avec la mort de son leader.
Quelque part dans la ville : 21h05
Les trois accumulateurs ont été placés ! Ils ont réussi à semer les poursuivants grâce à deux de leurs compagnons qui les ont ralentis. Ils ne sont plus que trois et il reste deux accumulateurs à placés, c'est-à-dire à la gare. Mais là ils doivent bien conclure que c’est impossible. Que peuvent-ils bien faire à trois alors qu’i y a une cinquantaine de personne qui les attendent de pieds ferme. Sam décide qu’il faut se la jouer kamikaze et casse la vitre d’une des voitures, tant pis pour le propriétaire. Etant une vieille voiture il suffit juste de relier deux fils pour la faire marcher. Son idée ? Leur voiture c’est la boule de bowling et les gens les quilles ! Il ne reste plus beaucoup de temps, alors utiliser les moyens les plus… percutants semble être la meilleure idée. Les personnes bullatisées pas folle évitent la voiture libérant le chemin de la gare. Les deux accumulateurs postés, Harry téléphone à Dimitri mais personne ne décroche. Sam et l’autre pensent à la même chose, il est s’est fait attaquer durant leur absence. Mais ils ne peuvent pas l’aider, il faut protéger les accumulateurs car les soldats bulle sont déterminés à les détruire ce qui poserait quelques petits problèmes à la bonne marche de la machine si Dim arrive à pouvoir la faire fonctionner bien sur.
Centrale électrique : 21h12
Les survivants à cette lutte pour la prise de contrôle de la centrale sont au nombre de quatre. Ils sont arrivés au poste de contrôle et Mickael attend 21h30 pour pouvoir faire le bidouillage mais il ne sait pas s’ils réussiront à tenir. Ils ont bloqué la porte pour gagner du temps. Et si elle lâche ils doivent absolument faire en sorte qu’il en reste un parmi eux pour appuyer sur le bouton à 30 exactement. La tension est à son maximum !
Le centre-ville : 21h15
Les accumulateurs sont placés mais Kyle et l’autre personne se sont fait bullatisés. Coup dur pour Diane même si elle sait que tout redeviendra à la normal une fois la machine activée. Ils sont coincés dans une ruelle où le moindre mouvement de leur part pourrait les faire repérer. Si le plan ne marche pas il faudra en trouver un autre, et donc pour ça ils ne doivent pas se faire attraper. Par contre, Diane avait appelé son frère à plusieurs reprises mais aucune réponse. Elle et les autres présents se sont mis d’accord, il y a un traitre parmi eux et ils ne l’ont pas repérés. Elle espère que Dimitri va bien.
IUT de Caen : 21h20
Dimitri n’aurait pas pu imaginer pire situation. Attaché et seul vu que le traitre sympathique est en train de rêver. De plus en face de lui Bilbulle et quelques membres de son escorte sont en face de lui. Le jeune homme a remarqué que Bilbulle était le seul à être resté une bulle. Dix minutes il lui reste et d’un coup les minutes semblent être bien rapides. Il tente de raisonner son ami bulle mais celui-ci n’en porte aucune attention. Il est en train de regarder la machine, même s’il connait Dimitri il ne sait pas à quel point ses inventions peuvent être complexe.
Ville de Caen : 21h23
Le groupe de Diane, celui de Mickael et celui d’Harry regardent les minutes passer, la boule au ventre. Si Dimitri veut leur faire peur il a très bien réussi son coup. S’il a l’intention de faire quelque chose qu’il les prévienne au moins !
IUT de Caen : 21h28 min et 40 sec
Quel retournement de situation. Il n’y avait même pas trois minutes Dimitri était encore ligoté et là il était libre. Le traitre sympathique est en train de coller une ristouille à l’escorte de Bilbulle. Dimitri se dirige vers la machine et regarde sa montre avec attention tandis que Bilbulle ordonne à ses troupes d’empêcher Dimitri de mettre en marche sa machine. Mais le traitre n’allait pas les laisser faire ! Pour le bien du sourire des enfants il va protéger le scientifique ! Bilbulle tente de convaincre de nouveau que sa cause est bonne mais son ami humain lui répond qu’il sait mais qu’étant un Homme il ne peut pas laisser son espèce se faire détruire par une autre et surtout pas crée par lui. Et il appuie sur le bouton.
Caen : 21h30
Les accumulateurs entrent en résonnance et la centrale électrique dirige son énergie vers la machine de Dimitri qui est relié avec elle par un réseau de fils. Un léger tressaillement et c’est le trou noir pour tout les gens de la ville.
Appartement de Dimitri : 13h
Tout le monde est réuni et fête leur victoire bien mérité au plus grand malheur de Dimitri qui va devoir faire le ménage après. Il s’est débarrassé de la formule craignant qu’une autre personne comme lui soit trop curieuse et qui pourrait créer un deuxième Bilbulle. D’ailleurs ses dégâts ne sont pas passé inaperçue, tout le monde est au courant de ce qui s’est passé un peu près mais personne ne sait que c’est Dimitri la source de tout ça. Par contre les dégâts dans l’IUT et la centrale c’est lui qui a du en prendre la responsabilité. A chaque fois qu’il y a un problème c’est lui qui prend. Mais ce qui compte c’est que tout sois terminé et il n’aurait jamais arrivé sans l’aide de tout le monde et de la seule bulle qui les a aidé et qui n’a pas hésité à se sacrifier pour aider les humains. Le drame est passé et il avait encore une tonne d’expériences à faire… après s’être débarrassé de sa sœur et de son frère qui se sont jeté sur lui.
Voici l’histoire de la lutte entre humain et bulle. Magnifique n’est-il pas ?
- Texte n°2:
Description de l'univers:
Dans mon univers, nous sommes plusieurs. Dans certains endroits, nous sommes même trop, ou pas assez. Nous arrivons à passer d'une idée à une autre sans que cela ne dérange personne. Nous pouvons exprimer toute la gamme de sentiments qu'il existe. Dans mon univers, le plus important de nous est celui qui explique les choses, vient après celui qui met de l'action, ensuite celui qui montre ses sentiments et pour finir les autres. Notre monde peut être coloré, ou en noir et blanc. Les deux nous conviennent, nous savons nous adapter. Parfois, nous aimons nous battre. Certains se montent dessus, d'autres veulent montrer qu'ils sont les plus fort en tentant de se grossir le plus possible. De temps en temps, certains de nous ont des formes bizarre. Nous les trouvons amusant, ou alors effrayant. Mais, avec le temps nous apprenons à passer au dessus des apparences. Dans mon univers, il arrive parfois des choses affreuses. Lors de notre conception, certains d'entre nous se retrouvent à moitié créés lorsque soudain, notre créateur décide de nous supprimer sans aucune pitié. Vint alors une nouvelle création, qui prend sa place parmi ses voisins. Ce qui est sûrement le plus frustrant, c'est qu'une fois notre place prise, notre forme prise et notre fonction associée, nous ne pouvons en changer. Il n'y a pas que du mauvais dans notre univers, nous savons que nous sommes ici pour plaire à des sortes de dieux. Nous ne savons à quoi ils correspondent, mais à chaque fois qu'un d'eux nous observe, nous sommes naturellement ravit qu'il pose ses yeux sur nous. Pour finir, si vous aimeriez avoir une date, un point de repère pour ne pas être dérangé par cet univers, je ne pourrais vous en donner.
Bienvenue dans mon univers, les bulles de BD.
Histoire:
Si je pouvais parler, si je pouvais m'exprimer, je vous conterais cette histoire qui est la mienne...
Avant tout début, il faut que je me présente. J'ai été créée par la main de l'homme il y a de cela très peu je crois. Je ne saurais vous parler de temps, puisque je ne le connais pas. Je suis née petite, ovale et délimitée par une substance noir, tout comme mes voisins. Je suis éloignée des autres en permanence par un espèce d'enclos. Lorsque j'ai appris la fonction que l'on m'avait attribué, j'ai cru que j'allais fondre en larmes. Pourquoi ces maudits points de suspensions m'ont été attribués ? Je fais vide comme ça, je n'ai pas une seule lettre, juste des points alignés bêtement. Si j'avais été un point d'interrogation, ou un point d'exclamation, j'aurais été plus satisfaite. Mais non ! Il a fallut que ça tombe sur moi.
Mais pourquoi me plaindre, me direz vous. Hé bien, je me trouve d'aucune utilité. Lorsque des Dieux, l’œil intéressé ou amusé arrivent à mon tour, ils se contentent simplement d'ignorer ma présence. Je sais que je suis une petite bulle, mais tout de même. Et puis, quelle est cette envie de me créer ? Des points de suspensions, cela veut dire tellement de chose, ou au contraire rien du tout. Je ne sais pas ou me placer, je ne sais pas à quoi je correspond. Il n'y a rien de plus frustrant, que de ne pas savoir à quoi l'on sert, et pour quoi on est fait. Je n'apporte rien, je suis là, au milieu de mon enclos, à regarder attentivement les réactions absentes de mes lecteurs. Parfois je tente de comprendre, de trouver la raison de ma naissance, mais j'en arrive toujours à la même conclusion ; je ne sais pas. Mon voisin, lui, n'a pas à se demander à quoi il sert puisqu'il est celui qui met de l'action, il change le cours de l'histoire, je l'envie vraiment.,,
Ha tiens, au moment ou je tente vainement de vous transmettre mes pensées, un nouveau Dieu passe son doigt sur moi. Celui-ci me paraît plus sympathique que les autres. Il m'observe, regarde ce qui m'entoure et, pour la première fois depuis ma création, il revient à moi. Je le regarde, il me regarde, puis sourit. Je n'en crois pas mes points. C'est bien la première fois que cela m'arrive, croyez moi. Je crois que ce moment restera à jamais gravé dans ma bulle.,,
Je vous ai fais part de mes pensées, parce que j'aimerais que vous prêtiez plus d'attention à nous, les petites bulles, qui sont parfois présentent sans que l'on sache trop pourquoi. Ayez au moins l'amabilité de vous demander pourquoi nous sommes là, et à quoi nous servons. Vous voyez, un simple regard, un sourire, peut nous rendre heureux.
A bientôt peut être. C'était une bulle "trois points de suspensions".
- Texte n°3:
Cette "endroit" était sont préféré, ici il pouvait se rappelait de bons souvenirs. Son enfance, son passage à l'âge adulte, sa meute... même la première fois qu'il avait chassé avec eux, il s'en souvient. Malgré cela, il connaît également de mauvais souvenirs, qui se sont passées malencontreusement il y a peu de temps...
Cette "endroit" était tout pour lui, son passé, son avenir...toutes ses décisions, de vie et de mort était prises ici. C'était le seul "endroit" où il pouvait se recueillir seul et réfléchir. Mais depuis quelques instants, tout ceci était bouleversé. Son "univers" à lui, son "espace", sa "bulle", son "esprit", tout ceci n'était plus rien face à ce qui venait de se passer.
En face de lui, son ami. Il le voyait, mais il ne pouvait plus rien faire pour lui à présent. Avant qu'il n'eut le temps de lui hurler de ne pas y allais, son meilleur ami, s'était retrouvé sous les griffes de l'ours, qui n'hésita pas une seconde à l'envoyer à deux mettre de distance.
Pourtant toute la meute, savait que cet endroit était habité par cette effroyable bête. Mais lui désespérer, par la peur du reste de la meute, à abattre en groupe ce monstre, avait voulu prouver qu'il était possible de la vaincre. Il y était allé seul, malgré la mort de plusieurs d'entre eux face à elle dans le temps.
La horde resta un moment sans bougé, elle regardait cet affreux spectacle qui se dérouler sous leurs yeux sans rien dire. Ils ne s'approchèrent qu'une fois l'ours partit à longue distance.
Malgré cela, Yuko ne lui en voulait pas. Il avait essayé, en vain, certes, mais il avait essayé. Il le fixait poussé ses derniers souffles. Sa tête était en sang, son corps meurtri ne bougez plus. Tout d'un coup, il venait de se rendre compte ce qui s'était passé... La meute entière se tenait derrière lui, elle le regardait silencieusement.
Il releva la tête, et poussa un long hurlement comme peu de loups savent le faire.
La colère se lisait sur son visage, sa "bulle" à lui, son "esprit", tout était brisé à jamais, rien n'aurait pu lui rendre la raison. Son meilleur ami était mort, sans qu'il ne puisse rien dire; il était temps pour lui de se dresser contre la peur de la horde, sa haine, sa colère le mener à bout. Un seul coup de griffe, un seul suffiser à faire perdre la vie. Comment et est ce possible il l'ignorait, mais une chose était sûre, son esprit était troublé, incapable de réfléchir de façon convenable. Il se lança alors à la recherche de cet ours. Aucun loup de la troupe n'eut le courage de le retenir ni de l'accompagner, ils restaient là, sans un mot, leurs regards froid et impassible dévisager le jeune loup qui disparaissaient peu à peu à travers l'obscurité de la nuit.
Il allait seul vers une mort certaine, sa "bulle" personnel était de toute façon détruit à ce moment-là.
- Texte n°4:
Des bulles… Des milliards et des milliards de bulles remplissant un espace infiniment noir… Chaque bulle a une taille différente, même si elle ne se voit pas à l’œil nu. Certaines font la taille d’une bille, d’autres celle d’une boule de bowling et d’autres encore ont le diamètre d’une botte de foin mais toutes brillent et illuminent cet univers de ténèbres d’une lueur colorée. Chaque bulle change de couleur irrégulièrement : l’une est verte, puis, passe au rouge. Une autre est jaune, puis bleue… Mais lorsqu’on y regarde de plus près, au cœur de chaque sphère lumineuse se déroule la vie d’un être vivant. Ces couleurs qu’elle diffuse incarnent les humeurs de l’individu qu’elle renferme ainsi que la taille de la bulle correspond à son âge. Quand quelqu’un (un animal, une plante, un humain) naît, une bulle apparait, de la taille d’une bille. Quand un individu meurt, sa bulle est éclatée. Il n’y a personne, dans ce monde, à part une jeune fille seule, mais étrangement belle… Cette entité à l’allure d’adolescente ne respire pas, ne mange pas, ne dort pas. Nue au milieu des sphères translucides, ses longs cheveux noirs, comme la nuit qui englobe perpétuellement son monde, tombent en cascade sur son corps frêle, cachant les parties intimes. Sa peau est blanche au point de donner l’impression de briller. D’immenses ailes d’un noir de geai émergent de son dos. Ses yeux rouges comme le sang qu’elle a déjà vu dans des bulles luisent et terroriseraient toute créature qui l’aurait vue. Pourtant d’une beauté éclatante, elle est seule dans ce monde. Mais elle n’est pas triste. Elle sait quel est son rôle et est fidèle à son poste. Elle sait lorsqu’un être vivant doit mourir. A chaque fois, elle éclate la bulle de cet être, destiné à rejoindre un autre monde peut-être ? Ça, elle ne le sait pas. Son rôle est de contrôler la vie des êtres vivants, elle n’a pas besoin de savoir plus qu’elle ne le doit. Une petite bulle apparait à côté d’elle. Elle la prend délicatement dans sa main fine et douce et l’approche de son œil. Une portée de louveteau est pelotonnée contre le ventre d’une louve au pelage argentée. En voyant cela, inconsciemment, la jeune fille se met à briller et ne devient plus que de la lumière. Sa forme change, puis la lumière s’estompe et laisse voir une louve de taille moyenne, noire comme le pelage d’un corbeau. Ses yeux écarlates continuaient de contempler cette scène si touchante. C’est cela, elle n’est ni humaine, ni animale, ni végétale, ni d’aucune autre espèce existante sur Terre. Elle n’a pas non plus de nom. Enfin, les humains l’appelle la Mort, la Faucheuse, l’Ange ou par bien d’autres noms encore, qu’elle avait entendu à travers les bulles. Elle sait qu’ils parlent d’elle, mais c’est tout. Tout de même, parfois, en regardant ces familles réunies et heureuses, elle se demande comment serait sa vie, si elle était là-bas. Même les bulles font rayonner ce bonheur. Ça veut forcément dire que c’est bien, et même super ! A un moment de cette vie infinie qu’était celle de « la Mort », une chose qui ne s’était jamais produite avant est arrivée. Une petite bulle de la taille d’une boule de billard se perça mais sans s’éclater. Cette bulle était noire. Un noir profond, exprimant une tristesse infinie qu’aucun humain n’avait jamais ressentie auparavant. La jeune fille s’approcha de cette petite boule qui ne brillait même plus. D’un coup, elle fut transpercée par ce désespoir sans fond. Elle approcha son œil de sang et aperçut une petite fille pleurant toutes les larmes de son corps. Sur Terre, nous sommes à l’époque de la Reine Victoria, en Angleterre. La petite était recroquevillée dans une immense chambre somptueuse et était vêtue d’une très belle robe. Soudain, des images floues firent place à cette chambre richement meublée. L’enfant qu’elle avait vue dans la bulle était seule et triste. Autour d’elle, des gens parlaient dans son dos : « C’est la dernière survivante de la grande famille des Roseblury ! » « Elle est maudite ! » « Si ça se trouve, c’est elle qui les a tous tués ! »... Une larme étincelante coula sur la joue de la fillette et les images disparurent. L’entité ressentit alors le besoin irrépressible de rejoindre cette enfant. Elle passa un doigt dans l’ouverture mais fut aspirée immédiatement. Elle se retrouva juste devant la petite fille, son visage effrayé trempé de larmes. L’ « Ange » la rassura immédiatement en lui adressant de douces paroles. La petite se calma et sécha ses larmes. Comme elle se demandait si la « Mort » était un ange déchu à cause de ses ailes noires, celle-ci lui raconta d’où elle venait et ce qu’elle était. La fillette, qui avait encore son cœur d’enfant, était fascinée par ce qu’Ange (elle avait décidé de l’appeler comme ça) venait de lui révéler. Elles parlèrent encore, comme une grande sœur prenant soin de sa cadette, mais Ange ne mentionna pas un seul instant les malheurs de la petite Blodwenn. Finalement, c’est elle qui décida de tout lui raconter. Un soir, des brigands avaient envahi le manoir de sa famille. Ils étaient plusieurs dizaines. Les gardes furent tous assassinés, ainsi que les serviteurs. Les bandits tuèrent aussi ses parents. Mais pas elle. Ils emportèrent tous les objets de valeur qu’ils purent et laissèrent la demeure comme ça. En racontant tout cela, pas une larme ne coula même si son visage était infiniment triste. Ange lui demanda pourquoi elle ne pleurait pas. Blodwenn lui répondit en souriant tristement qu’elle avait déjà versé toutes les larmes que son corps puisse contenir avant qu’elle n’arrive, tout à l’heure. « Eh bien, si tu n’en as plus, je t’en donnerai encore, jusqu’à ce que tu aies évacué toute ta tristesse ! » Blodwenn la regarda, étonnée, puis, une petite larme d’un noir profond coula sur la joue de la fillette. Ange lui sourit, mais se figea d’un seul coup. La jeune fille sentit son cœur se serrer et continuer à se resserrer. Elle eut l’impression qu’il allait exploser. Sa poitrine fut marquée, à l’endroit du cœur, d’un seau indescriptible pour Blodwenn qui paniqua en voyant sa seule amie souffrir. Le corps d’Ange se mit alors à disparaitre. Sa peau devint transparente. La fillette tenta de la retenir. La jeune fille la rassura en lui disant que ce n’était pas grave, qu’elle devait retourner dans son monde mais qu’elles se reverraient bientôt. Son œil gauche émit une intense lumière et de celle-ci naquit une rose qui vint se nicher au creux des mains de Blodwenn. Ce n’était pas vraiment une rose, mais plutôt une bulle ayant cette forme, et qui rayonnait d’une blancheur étincelante. Ange dit à la petite fille : « Je dois partir. Mais n’aie crainte, nous nous retrouverons. Je ne rêve pas, mais toi, si. Veille toujours sur cette fleur. Si, un jour, elle se brise, nous nous perdrons pour toujours. » Elle lui sourit et, sur son œil gauche, une rosace se grava. L’instant d’après, la jeune fille éclata en un millier de petites boules de lumière. Sous le choc, Blodwenn resta un moment à genou, par terre, dans sa chambre. Puis, elle se leva. Elle n’était pas triste. Elle croyait en ce qu’Ange lui avait promis. Elle prit un petit bocal qu’elle remplit d’eau et y déposa délicatement la rose blanche. Puis, elle l’installa sur sa table de chevet et s’endormit aussitôt après s’être couchée. Elle était heureuse. De son côté, Ange était revenue dans son monde. La bulle de Blodwenn avait repris une couleur bleue, très pure. En voyant ça, la jeune fille sourit. Elle aussi était heureuse. Un peu plus tard, la rosace de son œil gauche s’illumina : Blodwenn s’était endormie. La jeune fille ferma les yeux et se retrouva dans une chambre très jolie et richement décorée. Les bordures des murs étaient faites d’or finement sculpté et tout le reste de la chambre était dans tous les tons roses qui puissent exister : des rubans, des perles, des rideaux, des tapisseries, et j’en passe… Mais cette pièce était… remplie de jouets et peluches en tous genres ! Ange fut impressionnée par les ornements de la chambre et cette quantité industrielle de jouets. Un autre point étrange, encore : il n’y avait ni porte, ni fenêtres. Mais la pièce était tout de même éclairée. La jeune fille ne voyait pas d’où venait cette lumière. Elle avait l’impression que tous les éléments de la pièce luisaient. En regardant autour d’elle, ses yeux finirent par se poser sur un lit en baldaquin. Dessus, Blodwenn était assise et jouait tranquillement avec un gros lapin rose et un ours brun. Quand la fillette aperçu Ange, elle lâcha immédiatement les jouets et courut se jeté dans les bras de la jeune fille. Elles restèrent un moment enlacées. Puis, l’enfant la prit par la main et lui présenta tous les jouets. Ensemble, elles passèrent un moment inoubliable. Quand il fut l’heure de se séparer, Blodwenn fit un grand sourire à Ange après un gros câlin : « A demain, grande sœur ! »
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| Sujet: Re: Histoire à thème - Editions I et II Dim 31 Mar 2013 - 21:23 | |
| Bonsoir tout le monde! Voici les résultats tant attendus des votes pour cet event! Les quatre textes en lice ont été soumis à l'avis de 7 juges qui ont voté selon la grille disponible dans mon message précédant.
Le gagnant de cet event sur les bulles est donc... notre mystérieux concurrent surprise, qui n'est autre que Twenty! Les juges lui ont attribué la note de 59,75 points (je déteste ceux qui ont mis les quarts de points c'est trop galère à compter ><). Twenty avait écrit le texte n°2, sur la bulle point de suspension.
Le texte qui est arrivé en seconde position est le texte n°1 avec 57,5 points. Bravo à sebast20 et à Bilbulle!
En troisième position vient ensuite le texte n°4, de Chivil et ses bulles-monde, avec 53,75 points, suivie de Himari aux loups, texte n°3, avec 28,5 points.
Bravo et merci à tous les participants, et aux votants bien entendu!
A une prochaine session... |
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