| | Comment vaincre le syndrome de la page blanche ? | |
| | Auteur | Message |
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Kimmy-saki
Spécialité : Scénario Messages : 33 Date d'inscription : 09/11/2013
| Sujet: Comment vaincre le syndrome de la page blanche ? Lun 2 Déc 2013 - 23:27 | |
| Coucou, la compagnie ! Comment ça va ? Moi, pour le moment, ça va plutôt mal ... Pourquoi ? Et bien, tout simplement que le syndrome de la page blanche est un lourd fardeau à porter pour mes petites épaules d'écrivaine (futur). Effectivement, j'ai une histoire (même deux, mais je vais principalement parler du deuxième puisque j'ai un peu abandonné le premier) bien commencer, mais que je n'arrive pas à trouver une suite. Tout me semble trop fade ou pas assez bien ( Et oui, ça peut m'arriver à moi aussi). En fait, je ne sais pas si je peux en parler ici, mais c'est quand même ce que je vais faire (au pire, quelqu'un m'avertira et je saurai pour la prochaine fois !) Bref, voici quelques extraits (J'en suis rendue au chapitre 7) Résumé (de quatrième de couverture) : - Spoiler:
Moi, Anna Sylvaria, je jure, de par mon sang sur cette épée, la vengeance éternelle. De par cette arme coulant le sang sacré de cette princesse inconnue de tous, je lui trancherai la tête. De par cette princesse, je sauverai ceux qui ont connu ce sort. De par ceux-là, je couvrerai de nouveau la terre de sa paix éternelle... Ce n'est pas un enchentement, mais un sortilège. Lisez ce livre au risque de ne plus pouvoir penser sans que quelqu'un ne lise en vous...
Prologue : - Spoiler:
Je n'oublierai jamais ce jour. Le jour où cette enfant s'est retrouvée orpheline, sans parents, sans survivants... Une enfant aux long cheveux châtains attachés en une belle et gracieuse tresse chassait les papillons dans sa cour en riant aux éclats. Le soleil faisait briller les fleurs et se refletait sur les feuilles du grand pommier. À son pied, la mère de la petite lisait tranquillement un livre. L'enfant ayant finalement réussi à attraper un monarque s'empressa de le montrer à sa mère. «Mama ! Mama ! Regad ! Regad ! Pallion ! Paillon !» riait la jeunne enfant alors agée d'un ans. Sa mère releva la tête et une mine horrifiée enveloppa son visage. La fillette qui venait tout juste d'apprendre à marcher trébucha et tomba avec le papillon emprisonné dans ses petites mains dodues. Elle ne savait pas alors qu'elle venait de briser sa liberté comme ilallait le faire.
La mère accourue vers son enfant, appeurée et effrayée. La petite pleurait avec de grands spasmes la secouant. Ces grosses joues potelés étaient déjà rouges et collantes. «Mal.. Moi mal...» pleurait la jeune fille. Elle ouvrit ses mains de bébé et laissa sa mère voir le monarque. La mère n'en fit que plus horrifié : ce n'était pas un monarque. Ce papillon ressemblant comme deux gouttes d'eau à un monarque n'était autre que le papillon. Le papillon féerique du roi. On pouvait le reconnaître par ses antennes en forme de diadème. Une vague sourde de frayeur s'abattut sur la mère qui ne fit que faire pleurer sa fille inquiète de la réaction de sa mère. Ce papillon n'avait, techniquement, rien de spécial. Mis à part pour ceux qui connaissent la légende : Ce papillon aurait été la cause de la mort d'un village entier il y a très longtemps. À ce temps, tout le monde vivait dans la peur, tout le monde sauf le jeune Furnield Golden, grand guerrier pour son très jeune âge. Pour prouver à son village qu'il n'y avait rien à craindre, il alla dans les montagnes à la recherche de ce maudit papillon alors appelé "Daemon lepidoptera". Ce majestueux papillon non pour le moins dangereux apparut devant lui comme par magie. Le jeune guerrier sortit son épée de son fourreau et trancha l'aile du papillon, le laissant ainsi vivre dans son agonie. Le soir même, le papillion mourut de par son aile qui l'empêchait de voler et d'ainsi atteindre sa liberté. Très peu de temps après, le village complet fut rasé par les flammes, les villageois baignaient dans leur sang. Des cris, des pleurs et des prièrent venaient de partout. Le dernier à mourir fut le jeune Furnield Golden qui maudit le "Daemon lepidoptera" sans savoir qu'il avait tuer leur dieu protecteur. C'est ainsi que le roi put enfin prendre possesion de la planète, tuant avec délectation ses victimes... Depuis ce temps, la rencontre de ce papillon engendre toujours sa mort et celle de ceux qui l'entoure, c'est pourquoi il est maintenant signe de mort et de désespoir. Au loin, on pouvait entendre le rire mauvais du roi. Ce roi que tout le monde craignait, ce roi qui tuait pour le plaisir, pour la soif de sang. Non loin de là, des cris, des pleurs et des prières montaient de partout. Les guardes du roi étaient arrivés. Mais cette fois-ci, un jeune enfant de quatre ans était assis derrière le roi. Son regard était froid et effrayait tout le monde, il semblait pire que le roi, son père. Celui-ci hurla de sa voix d'Outretombe des insultes pour ce village incapable de subvenir ses besoins. «Vous ne payez jamais vos impôts dans les temps ! Vos enfants font de piètre esclaves ! Vos marchandises ne me vaut pas un sous ! Bref, vous n'avez plus aucune raison de vivre. Guarde ! Tuez-les tous ! Viellards, hommes, femmes et enfants ! Tous !» hurla-t-il. Les guardes se dispercèrent et attrapèrent les villageois essayant de s'enfuir. Un homme, le chef du village accourut pour prévenir le reste du village. Il courut ensuite vers chez lui, prévenir sa douce moitié et son joli petit ange. Il alerta sa femme qui pleura doucement. Les traits creusés, elle se pencha vers sa fille et afficha un sourire triste. «Ma chérie, veux-tu jouer à cache-cache ?» lui demanda-t-elle les yeux remplis de larmes. «Voui ! Moi veux jouer cass-cass !» s'écria la petite encore trop jeune pour comprendre les larmes de sa mère et les traits inquiets de son père. «Ta mère et moi allons compter, pendant ce temps cache-toi !» dit celui-ci. Pour s'assurer que la petite prenne une bonne cachette, la mère transforma sa phrase de sorte que la petite fasse tout ce qu'elle voulait. «Ne grimpe pas dans le pommier, sinon, nous ne pourrions pas te trouver ! Et puis, bouche-toi les oreilles et ferme les yeux : ça serait plus amusant de ne pas nous entendre arriver ! Et puis, le jeu ne finit que demain matin, alors ne sort pas de ta cachette avant d'entendre le coq coqueter. As-tu compris ?» s'assura la mère triste de devoir la quitter sans pouvoir lui donner d'amour. «Oui, compi !» Gazouilla la petite. La mère explosa en sanglot. Son mari la pris par les épaules et l'entraîna vers le devant de la maison ; le plus loin possible du jardin où se trouve le pommier. Les guardes arrivèrent à ce moment-là et poussèrent un cri de guerre. L'homme poussa sa femme derrière lui et brandit son épée. Il se battit comme un grand guerrier, mais ne put venir à bout des guardes tout en protégeant sa femme. Le lendemain matin, lors du cri du coq, la fillette se réveilla fière d'elle de ne pas avoir été trouvée par ses parents. Elle descendit de l'arbre et courut jusqu'à la maison. Elle cria, mais rien ne vint à elle. Elle sortit donc de la maison et découvrit les cadavres de ses parents et ceux de quelques guardes. C'est ainsi que cette enfant devint orpheline. Et cette enfant, c'était moi : Anna Sylvaria.
Chapitre 1 : - Spoiler:
«Mama ? Papa ?» Pourquoi ne me répondent-ils pas ? Pourquoi restent-ils endormis ? «Réveillez-vous !» Qu'est-ce qu'il s'est passé ? Qui sont ces autres personnes ? Je fais rouler le corps d'une personne et remarque un signe sur leurs drôles de costumes. Il y avait un papillon - le même que celui que j'avais attrapé - pris dans des flammes bleues. «Petite ! Tu ne devrais pas être là ! C'est dangereux !» Je sursaute et attrappe l'épée de l'homme au drôle de costume. Je me retourne vivement en brandissant mon arme beaucoup trop lourde pour moi comme mon papa le faisait. Devant moi se dressait de toute sa hauteur M. Juliano, le sous-chef du village, celui qui venait toujours nous rendre visite à la maison. «Tonton... Pouquoi papa et mama éveille pas ?» «Ils n'ont donc pas survécu... Viens, je dois d'abbord te mettre en sécurité.» «NAN ! MOI VEU ESTER AVEC MAMA ET PAPA !» Je gigotait dans tous les sens en donnant des coups de pieds et des coups de poings. Mais mes coups ne semblaient pas faire beaucoup d'effet. «Chut... Ne cris pas. Les guardes risquent de revenir.» De quoi parlait-il ? «Mama... Papa...» «Chut... Je sais...» Il me porte jusqu'à la forêt qu'il traverse en courant et en évitant les brindilles traitresses. Au coeur de la forêt de Moonwood, une immense montagne s'élève à une hauteur vertigineuse. Il pénètre dans ses ténèbres d'un pas décidé, mais en courbant l'échine. Il me porte depuis maintenant plus de dix heures. Plus nous avancions et plus il ralentissait. Au bout de deux ou trois heures plus tard, il rampait quasiment. Je gigote et hurle pour qu'il me laisse marcher de moi-même. Mon ventre gargouille au-même moment et il semble comprendre mon message de travers. La preuve : il enfouis sa tête sur mon ventre et souffle doucement. «Ne t'en fais pas, nous aurrons bientôt de quoi te remplir l'estomac.» «Macher !» «Oui, je sais, il faut que je marche plus vite.» J'abandonne et me laisse porter contre mon gré. Je finis par m'endormir pour couvrir ma faim qui me ronge les entrailles. Je vois du sable. Des kilomètres et des kilomètres de sable. Du sable à perte de vue. Beaucoup plus loin, j'entrvois un arbre. Un minuscule arbre. Tellement minuscule qu'il m'arrive à peine à la poitrine. Je me rappelle les paroles de Juliano : «Lorsque tu verras un arbre, tu seras rendue à mi-parcours. Mais avant de continuer ta route, ravitailles-toi, tu en auras besoin dans ce désert aride.» Je me penche donc à ces racines et creuse lentement, mais sûrement. Au-dessus de moi, le soleil est à son zénith et la chaleur à son apogée. Ma vue se brouille et tout ondule autour de moi. Je me laisse doucement tomber vers l'avant et ferme les yeux. Je me sens transportée par des bras puissants et virils. «Il est temps de te réveiller...» Un énorme gargouillement vient me réveiller. Ce n'est pas mon ventre. J'ouvre doucement les yeux et vois M. Juliano se tenir le ventre en le priant de faire moins de bruits. «Tonton faim ?» «Oui, je sais que tu as faim, mais courage ! on est presque arrivés.» Pourquoi me met-il autant d'importance ? Décidemment, M. Juliano avait toujours été pour moi quelqu'un des plus étrange. «Nous sommes arrivés !» Son cri que je n'attendais pas me fis sursauter et je poussa un cri qui se rapprochait énormément d'un pleur. «OUINN !» «Il ne faut pas que tu pleures. Tu es la chef du village de Rulnia, sauveuse de Rulnia et princesse de Rulnia, tu ne dois en aucun cas montrer ta faiblesse. Tant que tu n'auras pas trouvé quelqu'un de fiable pour te protéger, tu te dois d'être ton propre bouclier.» Je ne comprend rien. Parle-t-il encore français ? Je ne pense pas, puisque je ne le comprend pas. Mon ventre vient arrêter le fil de mes pensées pour me tirer dans la réalité : la faim. «Manzer !» «Oui, attend un peu, sois patiente, ma grande...» Il se met à quatre pattes et chercher quelque chose au sol à tâton. «Eurêka !» Il sort un énorme sac des ténèbres avec triomphe. Il l'ouvre avec précaution et retire le stricte minimum pour apaiser la faim et la soif. Il sort une gourde qu'il ouvre et amene à ma bouche. Il laisse couler un mince filet d'eau entre mes lèvres. Je sens immédiatement les effets bénéfiques de ce liquides tant attendu. Je bois trois longues gorgées avant qu'il ne le retire pour le porter à ses lèvres. Il boit lentement : je peux voir sa pomme d'adan monter et descendre à un rythme régulier. Je l'entends prendre trois gorgées, puis il rebouche la gourde pour ensuite la rangée dans le sac. Il sort une baguette de pain qu'il déchire en deux, puis range l'une des moitiés. Il déchire l'autre en deux encore puis me tend l'un des morceaux que j'accepte avec plaisir. Il sort un morceau de fromage qu'il découpe avec soin avant de m'en tendre un bout. Je le mange lentement, le laisse fondre sur ma langue pour pouvoir profiter des bienfaits du fromage. M. Juliano me pose - enfin ! - sur le sol et me regarde, les larmes aux yeux. Il me caresse les cheveux, un peu comme mon père le faisait souvent. «Tu n'est qu'un tout petit bébé. Pourtant, c'est à toi que revient cette quête, pas à moi.» «Tonton... ?» Quelle sera cette quête ? Attendez... Quelle quête ? Pour le savoir, patientez encore un peu, la suite arrive !
Chapitre 2 : - Spoiler:
Moi, Anna Sylvaria, princesse du village Rulnia, je suis fin prête à recevoir ma quête. «Anna ! Ta posture ! Dos droit ! Genoux fléchis ! Tu es trop molle du bras. Ton épée descend ! Remonte-la !» «Oui !» Juliano a beau être comme un oncle pour moi, il n'empêche que c'est un vrai bourreau et un vrai esclavagiste ! Pourtant, il n'était pas comme ça avant... Je me souviens encore d'avant... Après avoir mangé, M. Juliano s'assoie près de moi et commence à parler. Je ne comprend pas ce qu'il raconte. Moi, une princesse ? C'est vrai ! Je joueai souvent avec mamam ! Une quête ? Comme quand il faut cherche le trésor dans une chasse au trésor avec papa ? «Dors, demain est un autre jour... Et tu vas devoir apprendre à ton corps à s'endurcir. Qui plus est, si je continue à te porter en plus du sac, jamais je ne servivrai jusqu'à la sortie !» Il s'allonge prèse de moi et me place sur son torse. Je sens son souffle dans mes cheveux, il est chaud... La chaleur de papa me manque. Mes yeux me piquent, mais il ne faut pas que je pleure. Une princesse se doit de guarder la tête haute pour ne pas inquiété ses sujets... «Mama... Papa...» «... Je suis là...» Il soupire un bref instant et se met à incanter une prière. «Williot...» Mon père ? «Je te promet que je protègerai ta fille comme si c'était la mienne. Elienna...» Ma mère ? «Ta fille sera forte, mais je la protègerai au péril de ma vie.» Le voyage dure deux jours et demi. Il a marché, j'ai marché, nous avons marché. Sortis du passage sous-terrain, le soleil me brûle la peau et les yeux. Ce contact des plus brutal me fit du bien, malgré ce qu'on pouvait croire. «Je le savais ! Pupuce ! Je t'avais dis qu'on verra le soleil pour tes deux ans !» «Soleil !» Douze ans sont passé... Et nous sommes maintenant. Comment ce gentil oncle a put se transformé en monstre !? «Arrête de rêvasser ! Au solstice d'été, tu vas devoir quitter la forêt Ryghilton pour aller dans le désert. C'est là que tu accompliras ta quête.» «Tonton... Tu ne m'as toujours pas expliqué en quoi consisterai ma quête...» «La veille de ta quête, je t'expliquerai tout. Pour le moment, concentre toi sur ton entraînement !» «Bien Mon Capitaine...» Avec mon poignet, je trace de fine courbe. Malgré le lourd poids de mon épée, je bougeai rapidement et avec agilité. Mon bras gauche me lance. Mon entraînement dure depuis le lever du soleil et je ne vois même plus le mannequin qui me sert d'adversaire tellement la nuit est entammée. Les premières étoiles apparaissent dans le ciel et m'éclairent d'une faible lueur. «Anna ! ATTENTION !» «Qu'est-ce qu'il se passe ?! Pourquoi arrêter là ? Soit tu n'écris rien, soit tu écris tout ! Ne fais pas de suspens comme ça !!!»
:-P Désolée pour tous ceux qui ont pensé/dit ça.
Chapitre 3 : - Spoiler:
«Anna ! ATTENTION !» Je me retourne vivement, mais d'une lenteur évidente contre cet immense boule de fourrure grise se jettant sur moi. Un immense loup gris pèse de tout son poid sur la frêle chose que je suis, abbatue par la fatigue. Ses lèvres sont retroussées et l'on peut voir que ses crocs sont d'une longueur suffisante pour pour déchirer la peau tellement elles sont tranchantes. Ses canines birllent d'une lueur étincelante sous la pâle lumière du soleil. Tout en lui nous force à avoir peur. Pourtant, son être respire la peur. Ses oreilles sont rabatues sur son visage et non dressées sur sa tête. Sa queue se trouve mollement entre ses pattes antérieures. Ses yeux démontrent une terreur sourde. La bête semble recouvrer ses esprits et me regarde d'un air effrayé. Il recule brusquement et s'applatit contre le sol. «Que fait-t-il, Tonton ?» «... C'est la position que prenne les loups lorsqu'ils se sentent dominés. Ils la prennent aussi lorsqu'ils sentent que le combat est perdu d'avance...» «Et il va rester comme ça encore longtemps ?» «Jusqu'à ce que tu lui répondes...» «Lui répondre ? Alors... Gros toutout, je ne veux pas te faire du mal. Moi, amie, toi !» Le loup ferme les yeux et tremble comme une feuille. «Arrête, Anna ! Il pense que tu refuses son offre de lui laisser la vie sauve : il ne comprend pas le français, non de dieu !» «Mais comment suis-je supposée lui répondre ? Je ne connais pas plus le language loup que lui ne connaît le français !» «Le loup dominant du combat se doit de lui mordiller doucement le coup. Il lui montre ainsi qu'il est dominant et qu'il accepte le dominé dans sa meute.» Je m'approche doucement du loup, mais je m'arrête net lorsque j'entends sa réaction. «OOOUUUUH ! Je t'en pris, laisse moi la vie sauve ! Tu es la dominante ! Je l'ai admis ! Alors ne me tue pas !» «Anna... Quelle date sommes-nous ?» «Le 23 juillet, pourquoi ?» «Nom d'un lutin des bois... J'ai toujours pensé que ce n'était qu'une légende...» «De quoi parles-tu, tonton ? As-tu de la fièvre ?» «Un soir de pleine lune, lorsque celui qui devra changé le monde des ténèbres sera accepté comme meneur par un loup dominant, celui-ci se mettra à parler la langue parlé par le héros.»
«Tonton ? Je pense que tu es plus fatigué que moi, le loup n'a pas parlé. Ce n'est que dans notre imagination d'esprits fatigués.» «Anna, fait le rituel du dominant.» «Tonton ?» «Maintenant !» Je me penche vers le loup gris qui a toujours les yeux fermés et lui pince doucement, mais fermement son cou. «Tu comprends ce que je dis, monsieur... Le loup ?» «Je suis sauvé ! Mais quelle honte d'être dominé par une femelle... Même si ma tendre est l'une des plus puissantes louves que je n'a jamais vu. D'ailleurs, je ne l'ai jamais vu perdre un combats, je pense que...» «Monsieur le loup !» «C'est à moi qu'elle parle ? Ha ! Bonjour, étrange bête sans fourrure, sans queue et qui marche à deux pattes. Tu sais que tu as un cris bizarre ? Parce que tu vois...» «Je suis un humain ! Pas une étrange bête venue des enfer !» «...» Comment va se passer la conversation ? Pourquoi ce loup est aussi bavare ? Quel est son rôle dans l'histoire ? Quelle est cette étrange légende et comment finit-elle ?
Chapitre 4 : - Spoiler:
«Je suis un humain ! Pas une étrange bête venue des enfer !» «Hum... Ain ?» «Oui, humain... Je suis humaine.» «Impossible.» «Puisque je te dis que je suis humaine !» «Et moi je te dis que c'est impossible.» «Explique-toi à ma... Nièce et moi.» Le loup secoue la tête et pousse un soupir de résignation. «Arrêtez de me parler ainsi ! C'est à elle que j'ai donné le titre de dominante, pas à vous !» Juliano équerquille les yeux et baisse la tête, rouge de honte. «Pouvez-vous nous expliquez où vous voulez en venir ?» «... Cette fille n'est pas une humaine. Et ce n'est pas votre nièce.» Mon tuteur rougit encore plus et joue avec des caillous qui sont à ses pieds. «Comment pouvez-vous l'affirmer ?» «C'est simple : elle n'est pas de la même race que toi. Tu es humain et elle est une elfe. Ou du moin, une demie elfe...» «Je viens de comprendre... Mais je suis réellement son oncle !» «Et en quoi ?» Je me perds dans leur conversation. Je n'arrive plus à suivre tellement ça me semblait incompréhensible et impossible. Premièrement, ce loup qui apparaît de nulle part. Deuxièmement, il parle. Troisièmement, de quoi parle Tonton ?! «Je me rappelle, mon frère, le père d'anna...» «Elle s'appelle donc Anna. C'est bien ce que la voix me disait...» «... Quelle voix ?» «On en reparlera plus tard... Mais continue ton histoire !» «Je disais donc que mon frère, le jour de son mariage, avait murmurer cette phrase : «Tu verras, elle est... Spéciale.». À ce moment-là, je ne voyais vraiment pas ce qu'elle avait de spéciale hormis sa beauté exceptionnelle...» «Tu penses donc qu'Anna est demi-elfique de sa mère ?» «C'est ce que je pense, mais je ne pourrais pas l'affirmer, puisque je n'y connais rien en elfe...» «Leur apparence peut être trompeuse... Ils n'ont rien d'extraordinaire, mis à part leur extrême beauté. Seul un elfe ou un être à l'instinct très développé est capable de s'en rendre compte de par l'aura qu'ils dégagent.» Je sens que je me perd de plus en plus. Pourtant, Juliano à l'air d'avoir parfaitement compris où le loup veut en venir... «Mais quel est votre rôle dans la légende ? Moi, je devais être son tuteur et vous ? Et quelle est cette voix dont vous parliez ?» «...» Le mystère plane et le brouillard persiste. Si vous voullez éveiller votre instinct d'aventure, revenez demain, lorsque la suite sera posté...
Chapitre 5 : - Spoiler:
«Mais quel est votre rôle dans la légende ? Moi, je devais être son tuteur et vous ? Et quelle est cette voix dont vous parliez ?» «Je suis le guide.» «Le guide ? N'est-ce pas la lune ?» «Que pensez-vous qu'un loup est ? Nous vivons pour la lune. Nous hurlons pour, nous mourrons pour, nous chassons pour... La lune est mon guide et je suis le vôtre.» «Et la voix ? Es-tu... euh ! Êtes-vous en train d'insinuer que la voix serait celle de la lune ?» «Je ne puis pas encore le dire, tout ce que je peux en affirmer, c'est que la voix semble en savoir étrangement beaucoup...» «Vous qui êtes le guide... Que devons-nous faire ? Anna est rendue imbattable à l'épée et elle a une endurence de fer. Je ne sais plus ce qu'il me reste à lui apprendre...» «D'après son incompréhension visible, il serait temps que tu lui explique ce qu'est la légende et son rôle dans cette histoire.» «Oui... Anna ? Comprends-tu ce dont nous venons de parler ?» «Honnêtement ? Je n'ai compris qu'une seule chose.» Le regard de Juliano s'illumine et il semble être rempli d'espoir. «Je savais que tu étais une fille intelligente ! Allez, ma belle Anna, dis à tonton Juliano ce que tu as compris !» «Le mot légende et le fait que tu ne m'as jamais rien expliqué !» «...» «Ah ! Oui, désolée. Ça fait deux.» Il ressemble à un merland frit. Je sais qu'il ne mérite pas que je sois aussi méchante avec lui, mais c'est ainsi. On récolte ce que l'on sème : je n'ai fait que lui rendre la monnaie de sa pièce ! «D'après ce que j'ai compris, je suis l'acteur principal dans cette histoire, n'est-ce pas ? Tu aurais pu avoir l'obligeance de me mettre, ne serait-ce qu'en partie, au courant des nouvelles.» «C'est fou comme vous parlez déjà comme une princesse, maîtresse !» «Au fait, monsieur le loup...» «Qu'y a-t-il, maîtresse ?» «Peux-tu arrêter de m'appeler comme ça ? Appelle-moi Anna.» «Mais... ce serait un manque complet de respect envers vous !» «Et si je te dis que c'est un ordre et non un choix ?» «Bien, maîtress... Anna.» «C'est mieux comme ça ! Alors maintenant que tu m'appelle par mon prénom, comment puis-je t'appeler ?» «Je n'ai pas de nom. Je suis un loup: on me recconnaît à mon odeur.» «Alors, que dirais-tu de... Tanuki ?» «Wouf !» Il redresse la tête et remue énergiquement sa queue en l'air, fouettant le ciel. Tanuki se met sur ses pattes antérieures et se met dans la même position qu'il avait pour m'attaquer. Ses babines retroussés faisaient peur, mais on ne ressentais aucune crainte, j'en déduisis donc que c'était un sourire. Un étrange sourire, soit, mais un sourire. «Maîtresse Anna, je vous adore !» «Seulement Anna. Au fait Julianno, on continue l'histoire ? Je n'ai toujours pas compris...» «Et bien... Cette légende date de très longtemps. Je ne peux te la raconter : il faut que tu en prennes connissance quand la lune l'aurait décider. Sinon, le monde pourrait prendre une toute autre direction.» «Votre oncle a raison, Anna. Vous devriez dormir : la nuit porte conseil et c'est à ce moment là que la lune est à son apogée, elle veillera sur vous.» «Bien... Je vais donc aller dormir. Bonne nuit, Tanuki. Bonne nuit, Tonton.» Les deux intéressés répondent en même temps : «Bonne nuit, Anna.» Je m'en vais vers ma tente, suivie de Julianno et Tanuki. Je rentre la première puis viens Tanuki et ensuite Julianno. Tanuki est le premier à s'installer : il se dirige au fond de la tente et tourne sur lui même deux fois. Il se couche finalement et pose sa tête sur ses pattes de devant. Julianno utilise notre guide comme oreiller et ça ne semble pas déranger ce dernier. Je l'utilise donc à mon tour comme oreiller et me blottit dans sa fourrure et dans les bras de Tonton Julianno. Nous verrons bien si la nuit porte conseil... Que nous réserve la suite ? La nuit lui réserve-t-elle une surprise ou serait-ce une nuit parfaitement calme, comme les autres ?
Chapitre 6 : - Spoiler:
Nous verrons bien si la nuit porte conseil... Je m'endors, blottie entre Tanuki et Julianno. La tente verte et brune - pour se camoufler dans la fôret - nous protège de tout danger extérieur. Le vert se mêle peu à peu au brun et vice-versa. Vous trouvez étrange que je puisse voir les couleurs de la tente alors que je suis endormie ? Et bien figurez-vous que moi aussi. Je dors, je le sais très certainement parce que mon coeur bat plus lentement et ma respiration est régulière, je sens mon corps lourd, mais léger. Toutes ces contradictions ressenties lors du dodo. Je disais donc... Les couleurs se mêlent devant moi. En tournant entre elles, une danse semble être créée. Les ombres des feuilles ainsi que les branchages se mêlent à la danse. L'ombre furtive de la chouette se fait aspirer tout aussi furtivement par le tourbillon de couleurs. Le tourbillon prend de l'ampleur à mesure que la lune s'élève. Comme si elle cherche à me montrer un chemin, une histoire. Une histoire ? Sûrement. Si ce qu'a dit Julianno se trouve être vrai, il semble que c'est cette nuit que ça va se passer : le révèlement. Une voix, celle d'une femme peut-être, me parle. Elle résonne en écho dans le paisible silence à peine troublé par le bruit du vent chuchotant ses remords. C'est là que le tourbillon maintenant pareille à une énorme spirale m'avale toute entière. Le raffut occasionné ne semble aucunnement importuner mon loup et mon oncle et semble n'être entendu que par moi. Ne pense pas, vis. Ne vis pas, avance. N'avance pas, pense. Comment pouvais-je faire quelque chose sans le faire ? Si cette voix appartient, comme je le pense, à la lune, celle-ci aurait besoin d'un petit tout rapide à l'hôpital pour fou ! Ce n'est qu'en vivant le jour pour le jour et la nuit pour la nuit que tu comprendras. Ha bein non, madame la lune... Si vous pensiez m'aider avec ça, c'est râpé ! ... Tu comprendras après avoir vécu ça. Mais n'oublie jamais : la vérité se cache dans le mensonge et le mensonge dans la vérité. La mort dans la vie et la vie dans la mort. La peur vient du manque de courage, mais le courage vient de la peur. Chaque chose n'est donc pas apparut avant l'autre, c'est en vivant le jour pour le jour que tu comprendras... La spirale m'aspire de nouveau et me projète dans un désert aride. Dans ma tête revient l'écho de Julianno : «Ne perds jamais espoir : c'est quand tu penseras que tout est finit que tout commencera réelement.»
Je pense que tu as compris... maintenant, pour avoir accès à ta quête, tu dois te rendre chez l'hermite. Julianno te montrera le chemin des étoiles et Tanuki des esprits. Tous les deux ont raison, mais ont tous deux tort. À toi de deviner à quel moment et qui. Tel sera ta première mission et apprentissage. Va, enfant de la lune, fais moi honneur et fierté. Je me réveille à cause d'une lumière jaissante. Un éclair. Je rouvre les yeux. L'éclair n'était autre que l'apparition physique de la douleur alors ressentis. Dans la tente maintenant écroulée au sol se tenait des gardes. Oh, pas en très grand nombre, mais ça, c'est une question de l'intérieur. Je me relève lentement en ménageant ma jambe droite qui avait subit une attaque surprise avec une lance. À au moins un kilomètre s'étendait du rouge, rouge comme le sang qui s'apprêtait à être verser. En arrière de cette armée monstre se tenait un homme, un seul, assis sur le seul cheval de la garde. Sa cape rouge vole au vent et le bruit sec produit est semblable au tonnerre grondant avant la tempête. C'est alors que Tanuki hurla: « La forêt nous indique le chemin, il faut aller à droite.» Julianno de le contrdire: «Les astres nous disent d'aller à gauche.» «Non, la forêt dit de faire le contraire de ce que le coeur dicte, donc le contraire de gauche, où le coeur se trouve.» Rétorqua le loup, mécontent qu'un moint haut placé que lui doute de sa fiabilité. J'entend notre mère la lune sourire et chuchoter voici le premier dilemme... «Tanuki» Criai-je. «Oui, Anna ?» «Tu ressens ce que l'esprit te dicte ou tu l'entends ?» «Je l'entends.» «Comment ?» «Par les battements du coeur... pourquoi ?» B. I. N. G. O. «Serait-ce le temps de dire "Eurêka" ? Oui. Alors... EURÊKA !» M'écriai-je fière de moi. Devant moi se trouve deux compagnons de voyage complètement débousselés. Je souris malicieusement et leur démontre mon hypothèse : «Tanuki, l'esprit te dit de ne pas suivre notre coeur. Or, c'est toi qui comprend les coeurs, donc ce message ne peut s'adresser qu'à toi.» «Oui...» «Or, il dit de ne pas suivre le coeur. Tu ne dois donc pas l'écouter et suivre le chemin du coeur, c'est-à-dire à gauche !» Je vois bien que Tanuki rumine ses idées noires, mais il m'écoute de bonne grâce et nous prenons la gauche. Je sens maintenant la bienveillance de ma mère non pas celle qui m'a mis au monde, mais celle qui m'a créé, mère Lune. Le premier apprentissage semble s'être bien déroulé, mais serait-ce toujours le cas ? Et quel est ce désert maintenant apparut DEUX fois ? L'histoire semble se répéter et n'avoir ni queue ni tête. Trouverons-nous une logique à ça ? Pour le savoir, rendez-vous au prochain épisode ! ;)
Alors, voilà ^^ En fait, je voulais simplement savoir si ça valait la peine que je la continue ou non. Ce serra bien si vous me disiez ce qui ne va pas et, au contraire, ce qui va bien pour me donner une idée de comment continuer (si tel est le cas). Merci ^^ Edit (Eileen): Bonjour, je me suis permise d'éditer pour essayer de résoudre ton problème de spoiler. Je pense l'avoir régler. Je n'ai pas compris le bug mais le problème est résolu. Bonne fêtes :) (Tu pourras enlever ce message lorsque tu posteras un autre chapitre) Have Fun | |
| | | Elza
Spécialité : Dessin & Scénario Messages : 216 Date d'inscription : 20/07/2013
| Sujet: Re: Comment vaincre le syndrome de la page blanche ? Sam 21 Déc 2013 - 8:08 | |
| Ciaossu! Je passe voir ton projet!! ^^ Ton texte étant un peu long, je me suis arrêtée à la fin du deuxième chapitre ^^' Je n'ai pas grand chose à dire: c'est presque parfait. J'adore ton style d'écriture ^^ J'ai vu quelques petites fautes, mais il suffit juste de les corriger plus tard. Par contre (là, je commence mes critiques x) ), un an pour la petite fille, je pense que c'est trop jeune. Premièrement, à un an, on commence à peine à apprendre à marcher (il me semble), alors à grimper dans les arbres ou de prendre une épée extrêmement lourde est tout à fait impossible ^^' À moins que ce soit une enfant extraordinaire, loin de la normale. Mais dans ce cas, il faut le préciser. Je précise aussi que parler à ce point là à cet âge est aussi hors de la logique. Quelques mots (Papa, maman, etc...) peut-être. Mais formuler des phrases... ^^' (Mon petit frère n'a appris à parler qu'à 3ans/3ans et demi, qui, évidemment est un peu (trop) tard, mais la normale est à 1ans et demi/début 2ans, je pense). Après, c'est le changement d'époque entre deux chapitres. Ça ne rend pas très bien... Ça me gène un peu. Soit tu termines les souvenirs de son enfance en un chapitre ou dans un prologue et que tu t'arranges plus tard pour montrer le changement d'époque, soit tu commences l'histoire à ses 13 ans et faire des flashback pour montrer son enfance. Mais comme ce dernier revient à réécrire ton texte, il vaut peut-être mieux que tu prennes la première proposition ^^' Voilà! C'est tout ce que j'avais à dire! (Pour l'instant ) Bonne chance et bonne continuation! Sur ce... Ciao-ciao! o/ | |
| | | Kimmy-saki
Spécialité : Scénario Messages : 33 Date d'inscription : 09/11/2013
| Sujet: Re: Comment vaincre le syndrome de la page blanche ? Lun 23 Déc 2013 - 20:53 | |
| Merci d'être passée ! (Depuis le temps que j'attendais une réponse *Q*) Pour la force du bébé, si tu continues à lire, tu comprendras que c'est parce qu'elle n'est pas tout à fait humaine ^^ (En fait, elle est à moitié elfe). Pour le changement d'époque, j'avoue l'avoir fait un peu brusquement et je vais essayé de faire venir le changement d'époque un peu plus doucement. Pour ce qui est de son vocabulaire, j'avais pourtant fait attention à ce que ses dialogues ne soient pas trop complexes et longues (même si d'un autre côté, je n'ai fait aucun effort sur sa façon de parler, mais qui peut affirmer la façon de parler d'un enfant ? Et bien pas moi ! ) Encore merci ! Mais pourrais-tu m'aider ? Parce que comme je l'avais déjà dis précédemment, le syndrome de la page blanche se fait de plus en plus sentir et il m'écrase contre tous mes efforts - je n'y peux rien et c'en est frustrant. J'ai essayé de penser à autre chose, écrire sans réfléchir, mais rien. Nada ! D'après toi, que devrai-je faire ? Surtout que je me décourage à chaque fois que je lis les histoires de mon entourage, notamment celles de mon amie qui est bien meilleure et dont les histoires sont plus appréciées et critiquées (dans le bon sens). Je trouverai dommage d'abandonner maintenant, mais je commence à me fatiguer ^^' (Mon dieu, je parle comme une vieille ! ) Combien de fois t'ai-je remercié déjà ? Bon, tant pis ! Je te remercie encore. Bisou ! <3 P. S. : Pour je ne sais quelle raison, tous mes spoilers ont ratés alors que je les avais vérifié un à un avant de l'envoyer :( | |
| | | Elza
Spécialité : Dessin & Scénario Messages : 216 Date d'inscription : 20/07/2013
| Sujet: Re: Comment vaincre le syndrome de la page blanche ? Mar 24 Déc 2013 - 20:05 | |
| Hello!! Et je t'en prie! (J'avais bien vu que personne ne répondait... Peut-être trouvaient-ils eux aussi l'histoire un peu trop longue... ^^') Comme ça peut être décourageant, je suis passée faire au moins un com' pour te rebooster x) (comme pour mon histoire où seule DragonDarkness était passée... On peut dire que ça m'a rabaissé un peu ^^') Bref! Parlons un peu de ton histoire ^^
Hummmm... Oui, c'est bien ce que je me disais, elle n'est donc pas humaine, cette petite fille! (Faut que je lise la suite de l'histoire, moi xD) Mais comme je l'ai dit, il aurait peut-être mieux fallu que tu le précises au début de l'histoire, l'air de rien, genre: "cette petite fille hors de la normale..."
Pour ce qui est du vocabulaire, je trouve que t'en sors très bien! J'ai juste trouvé quelques petites fautes de conjugaison ou d'accord, ce qui arrive à tout le monde ^^
Alors revenons à notre sujet de départ... Ton syndrome de la page blanche! x) Pour te rassurer, cela arrive à tout le monde ^^ Au Japon, on appelle ça "surampu" ou "slamp", je sais pas comment on écrit ça en phonétique x) Bref! Ce mot se traduit par "déprime". Tu ne sais vraiment pas quoi écrire, alors qu'avant, tu y arrivait sans problème. Évidemment, c'est très frustrant. Cela peut durer des jours, ou bien même des mois. Après, y'a la "déprime" en regardant des œuvres qui sont meilleurs que les nôtres. Combien de fois cela m'est-il arrivé en naviguant les pages de Deviantart! ^^' Pour ça, il te suffit juste de te dire qu'un jour, tu les dépasseras, un jour ce seront eux qui seront jaloux de ce que tu fais... ^^
Maintenant, conseils pour vaincre ce malheur de syndrome! ;) -Oublies ton projet actuel et penses-en à un autre, puis plus tard, tu essaieras de fusionner ces deux histoires. Ça rend plutôt bien! -Chaque soir, avant de t'endormir, tu essaies d'imaginer la suite à ton histoire, sans être clouée devant ton bureau à mâchouiller ton crayon sans rien trouver x) Juste l'imaginer dans ton lit te suffit! Après, peut-être qu'une suite apparaîtra dans ton rêve... (Chaque rêve est unique, donc si tu piques quelques idées de ton rêve, ton histoire deviendra de plus en plus original! o/)
Voili voilou! J'espère que j'ai été d'une quelconque aide! Sur ce, bonne chance et bonne continuation! ;3
P.-S: pour les spoilers vérifie que tu as bien fait [spoiler*] ton texte[/spoiler] (sans *) ^^ | |
| | | Kimmy-saki
Spécialité : Scénario Messages : 33 Date d'inscription : 09/11/2013
| Sujet: Re: Comment vaincre le syndrome de la page blanche ? Mer 25 Déc 2013 - 4:54 | |
| Pour ton post-scriptum, je l'ai vérifié ET testé, mais on dirait qu'il s'est passé quelque chose en cours de route :/ Pour tes conseils, je te remercie, je vais m'y mettre dès ce soir Pour ce qui est de dire qu'elle n'est pas normale, je vais voir ce que je peux faire… Et puis, je te remercie d'être venue pour commenter (ça faisait une semaine ou deux… Un peu plus et j'aurai préféré laisser tomber…) En fait, j'avais remarqué que ça faisait beaucoup, mais je ne savais pas comment le mettre qui plus est, je ne voulais pas couper mon histoire dans sa présentation… Une fois de plus, je te remercie : ça fait toujours du bien d'avoir l'avis des autres ;) | |
| | | Kimmy-saki
Spécialité : Scénario Messages : 33 Date d'inscription : 09/11/2013
| Sujet: Re: Comment vaincre le syndrome de la page blanche ? Ven 17 Jan 2014 - 0:36 | |
| Re-coucou, les amis ! Comme vous pouvez le voir, l'histoire est peut-être un peu mal écrite... :/ C'est pourquoi, après avoir fait le plein de courage et suivi les conseils de elzascarlet0428, j'ai décidé de réécrire l'histoire au complet et de vous le mettre ici, au fur et à mesure que la réécriture avance. Je ne voulais pas éditer mon premier message pour que vous puissiez voir la différence (bien que très peu présente) entre la réécriture et l'originale. Pour le moment, je n'ai pas vraiment écrit grand chose ni changé beaucoup de partie, mais je fais le plus d'effort possible... Bon, assez parlé pour le moment, on y va ! Voici d'abord le résumer qui équivaut à la quatrième de couverture d'un livre : - Spoiler:
Moi, Anna Sylvaria, je jure, de par mon sang sur cette épée, la vengeance éternelle. De par cette arme coulant le sang sacré de cette princesse inconnue de tous, je lui trancherai la tête. De par cette princesse, je sauverai ceux qui ont connu ce sort. De par ceux-là, je couverai de nouveau la terre de sa paix éternelle... Mais pour cela, du sang devra être versé. Le mien ou le sien.
Maintenant, le prologue (et j'aimerai que vous me dites s'il n'est pas trop long :/) : - Spoiler:
Voilà pour le moment ^^ Dites-moi ce que vous en pensez :D | |
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